Ron-Kid
HasbunAllahu wa ni`mal Wakil '
Récitation du Coran pendant les menstruations et après saignement Natal
Tout d'abord, les offres fondées sur la charia les femmes sexuellement souillés et ses règles en matière très différentes et des modes. Il ya beaucoup de différences entre eux:
1. Le défilé sexuellement pouvez à tout moment, il souhaite supprimer cet état. Il / elle peut faire le ghusl s'il n'y a pas d'eau, puis tayammum.
2. Femme ayant ses règles ne peut pas faire une telle, elle est dans cet état aussi longtemps que Allah (SWT) veut, jusqu'à ce que sa période touche à sa fin.
Recitiation du Coran par ses règles et les femmes des saignements post-partum a été rendu licite par les malékites, les hanbalites, les Shafis, Abou Hanifa et un certain nombre d'autres chercheurs. Il la preuve étant:
1. Hadith de Boukhari et Mouslim concernant la prière de l'Aïd. Rapporté Atiya Umm '(RA):
"J'ai entendu le Messager d'Allah (SAW) que les vierges non mariées et les filles matures et les femmes menstruées devrait sortir et de participer dans les bonnes actions ainsi que les invocations des croyants fidèles, mais les femmes menstruées doivent tenir à l'écart de la Musalla - lieu de prière [ Salat (prière)]. Quelqu'un a demandé (Umm 'Atiya) (étonnamment), "Ne vous dites que les femmes menstruées?" Elle répondit: "Ne pas assister femme menstruée' Arafat (le Hajj) et tels et tels actes (autres) ? "
Takbir est un type de souvenir d'Allah (SWT) et des supplications, n'est pas différente de dhikr.
2. Hadith de Bukhari sur Aisha (RA) quand elle a obtenu ses règles sur le chemin de la Mecque. Rapporté 'Aisha (RA):
«Nous partîmes avec la seule intention d'accomplir le Hajj et quand nous sommes arrivés à Sarif, (11 km de La Mecque) j'ai eu mes règles. Le Messager d'Allah (SAW) est venu à moi pendant que je pleurais. Il a dit" Quelle est la question avec vous ? Avez-vous vos règles? Je lui ai répondu, "Oui." Il a dit, "C'est une chose qu'Allah (SWT) a ordonné pour les filles d'Adam. Alors fais ce que tous les pèlerins font, à l'exception de Tawaf (circumambulation) autour de la Ka'ba." 'Aisha (RA), a ajouté: «Le Messager d'Allah (SAW) a sacrifié des vaches pour le compte de ses épouses."
Les pèlerins font le dhikr et lire le Coran. Il n'y avait pas d'objection du Prophète (SAW) et il (SAW) en fait "dit" Aisha (RA) de le faire.
3. Une autre raison d'être des difficultés. Une femme peut oublier ce qu'elle mémorisé.
Ainsi donc, si il n'y a aucun texte interdisant un tel acte, on ne peut pas conclure que l'acte n'est pas admissible. Le fardeau de la preuve incombe à ceux qui prétendent que les femmes ne peuvent pas réciter le Coran, et ils n'offrent aucune preuve claire ou directe.
Il n'ya pas de mal que ce soit dans une femme menstruée ou une femme hémorragie post-partum en récitant le Coran à partir de leur mémoire sans toucher le Coran.
Toucher Le Coran Pendant menstrues et Post-Partum
Les preuves les plus souvent cités, est un Ayat du Coran:
«... Nul ne peut toucher, mais ceux qui sont purs ...» (Al-Waqi'a 56:79)
Une erreur commune, ce sont les gens qui prennent les versets et en l'appliquant à un particulier Fiqh (point). Pourtant, lorsque vous étudiez le verset plus en détail, vous trouverez, en fait, il n'est pas lié au point que ce soit.
"Cela (cette) est en effet un récital honorable (le Noble Coran). Dans un livre bien gardé (avec Allah dans le ciel c.-à-Al-Lauh Al-Mahfuz). Quel (ce Livre d'Allah) nul ne peut toucher, mais ceux qui sont purs des péchés (c.-à-anges). une révélation (le Coran) émane du Seigneur de l'Alamin (Coran, et tout ce qui existe). (Al-Waqi'a 56:77-80)
Mettre en contexte cette Ayat se réfère à «... un livre bien gardé», et cela signifie un livre d'Allah (SWT). Il ne parle pas le Coran physique que nous avons en notre présence ici.
Ibn Abbas (RA) et d'autres, ainsi que les premiers savants, d'accord que ce verset ne parle pas sur le Coran que nous avons dans nos mains. Un livre bien gardé se réfère à quelque chose qui est caché (Maknoon). Il ne se réfère pas au Coran que nous avons en notre présence. Les premiers érudits tous d'accord à cette conclusion.
"... Dans un livre bien gardé (avec Allah dans le ciel c.-à-Al-Lauh Al-Mahfuz)."
(Al-Waqi'a 56:78)
Selon le Tafsir de Tabari et Kathir et aussi en fonction de Jamal al-Din al-Qasami, cette Ayat n'est pas en référence à l'homme ayant à être exempts d'impuretés.
"Quel (ce Livre d'Allah) nul ne peut toucher, mais ceux qui sont purs de péchés (c'est à dire les anges)." (Al-Waqi'a 56:79)
Ce verset en référence à l'humanité et non pas des anges. Dans un Hadith rapporté par Abû Hurayrah (RA), le Prophète (SAW) déclare: «un croyant ne devient jamais impur."
«Le Prophète (SAW) est venu sur moi dans l'une des rues de la Médina et à ce moment-là j'étais Janab. Donc je me suis glissé loin de lui et alla prendre un bain. A mon retour le Prophète a dit," O Abou Hourayra! Où avez-vous été? "Je lui ai répondu," je n'étais Janab, si je n'aimais pas rester dans votre entreprise. "Le Prophète a dit," Subhan Allah! Un croyant ne devient jamais impur. "(Sahih Bukhari)
Il ya quatre significations possibles de Taher (pure) dans ce hadith:
1. spécifiquement, cela signifie «pur».
2. sans impureté majeure, où il est nécessaire de faire le ghusl.
3. exempt de souillure mineure, où il est nécessaire de faire ses ablutions.
4. pas d'impuretés sur le corps physique
Qu'est-ce que signifie dans ce Taher Hadith? Comment nous déterminons ce que cela signifie, c'est que nous regarder d'autres preuves qui se rapportent.
Evidences
1. Une lettre envoyée à l'empereur de Rome par le Prophète (SAW). Le Prophète (SAW) avait de bonnes raisons de croire que l'empereur serait-il toucher. Certains diront que un morceau de papier n'est pas le Coran si cela peut ne pas être un argument fort.
2. Dans Sahih Muslim Hadith du quand Aïcha (RA) a été envoyé, par le Prophète (SAW), d'entrer dans la mosquée pour obtenir une natte. Le Prophète (SAW) a dit à Aïcha (RA), "La menstruation n'est pas dans vos mains." Une touche féminine ne peut pas être considérée comme impure, même pendant les menstruations.
"Le Messager d'Allah (SAW) a dit à moi:. Donne-moi le tapis de la mosquée que j'ai dit: je suis menstruée Sur ce, il a fait remarquer:. '. Votre menstruation n'est pas entre vos mains» (Sahih Muslim)
1. Hadith qui dit: «Un croyant ne peut pas être impur." Un texte clair par le Prophète (SAW). Un croyant est considéré comme Taher en toutes circonstances. Par conséquent, croyant dans ce hadith signifie Taher. Le seul qui doit toucher le Coran est un croyant (c.-à-Un musulman).
2. Prenez le Ayat: «. Personne ne peut toucher, mais ceux qui sont purs (Taher)" Il n'ya aucune trace que ce soit du Prophète (SAW) dit croyants de ne pas toucher Coran.
Par conséquent, Taher signifie croyant (musulman).
Il n'y a aucune preuve qui indique que une femme qui en est à sa période ou une femme qui est d'avoir des saignements post-natale qu'elle ne peut pas toucher le Coran. Il s'agit d'une opinion minoritaire, mais il est le plus fort l'opinion.
UNE FEMME QUI EST SUR SON EXERCICE PEUT réciter le Coran Et une femme qui en est à sa PÉRIODE PEUT MEME TOUCHER LE CORAN ET LA LIRE DIRECTEMENT A PARTIR D'UN MUSAF (ARABE). C'EST une opinion minoritaire Pourtant, il est l'opinion la plus. Il n'existe aucune preuve à l'effet contraire et le fardeau de la preuve est sur ceux qui disent que ces femmes ne sont pas autorisés à toucher ou à réciter le Coran.
Les savants qui disent que le Coran est interdit de toucher à l'état de menstrues et hémorragie post-partum, de citer un hadith faible, ce qui a dans sa chaîne d'une personne déclarée un menteur par les savants du Hadith.
"Ni la femme ayant ses règles, ni la personne sexuellement souillée est de réciter quelque chose de le Coran."
De l'information de «Fiqh des décisions sur les questions de la femme" une conférence
par Jamaal al-Din Zarabozo
Lecture du Coran pendant les règles
Il n'existe aucune interdiction du prophète Muhammad (SAW) interdire à une femme de la lecture du Coran dans l'état de ses menstrues.
Il n'y a pas d'interdiction. Le Prophète Muhammad (SAW) ne s'y oppose pas. Tout ce que nous avons, c'est la déclaration du Prophète Muhammad (SAW) qu'il a utilisé pour réciter le Coran dans toutes les conditions sauf quand il était dans un état de janâba qui est postérieure à avoir des rapports sexuels quand il était nécessaire pour lui de prendre un bain.
C'est la base, c'est le fondement, à partir de laquelle toutes ces opinions différentes sont dérivées. Ainsi, certains chercheurs a fait une comparaison entre cet état de janâba avec celle des menstruations.
Mais bien sûr, ils ne sont pas les mêmes parce que l'état de janâba vous pouvez supprimer en se contentant de vous laver. Prendre un bain de votre état est terminée. Maintenant, vous pouvez maintenant lire le Coran. Alors que dans l'état de menstrues, une femme ne peut pas s'en laver elle-même, puis vous pouvez aller lire. Elle est toujours dans cet état de menstrues.
Si nous traitons maintenant avec la traduction du Coran, la traduction des sens du Coran, alors tout ceci est sans importance à tout cela parce que les traductions du Coran ne sont pas considérés comme Coran. Donc, peu importe dans quel état vous vous trouvez, vous pouvez le lire, vous pouvez le ramasser, vous pouvez le toucher, il n'ya aucun problème du tout parce que le Coran que nous avons, même si le texte arabe est là aussi, n'est pas encore considéré comme le Coran.
La position générale qui se tient dans la détermination de ce qui est considéré le Coran et ce qui n'est pas, c'est que chaque fois que les mots de l'autre en dehors d'Allah (SWT), dans un texte donné, est plus que les paroles d'Allah (SWT), ce texte est pas plus considéré comme le Coran, car le Coran se réfère à un seul verset, si nous prenons un verset du Coran par lui-même ce qu'on appelle le Coran aussi. Mais s'il arrive avec ce verset, d'autres termes, vous avez donné une explication de celui-ci qui est plus que ce qui constitue le verset, alors c'est le Coran n'est plus considéré comme.
C'est le jus du fait, que le Prophète Muhammad (SAW) a envoyé des messages aux rois de Byzance et la Perse, etc qui ont versets du Coran en elle. Il (SAW) savait très bien que ces gens allaient être dans un état de janâba, qu'ils étaient Kafr et qu'ils seraient probablement le déchirer, peut-être marcher dessus ou que ce soit.
Nous savons donc qu'il est permis qu'une fois que les paroles d'Allah (SWT) sont noyés par les mots des autres en dehors d'Allah (SWT), qui est le cas des traductions du Coran, puis dans un tel cas n'est pas considéré comme être Coran et en tant que telle, il est parfaitement admissible pour une femme de le lire sous n'importe quel état.
De l'information de «Devoirs d'un mari musulman" une conférence donnée par cheikh Abou-Phillips Ameenah Bilal
Il est admissible pour une femme ayant ses règles de réciter le Coran et Livres de supplications
Il n'y a pas de mal à une femme menstruée ou des saignements post-partum la lecture des livres de prières qui sont écrites pour les rites du pèlerinage. En fait, il en a rien de mal avec elle réciter le Coran selon l'opinion correcte. Il en aucune foi, un texte clair interdisant à une période de menstruation ou de la femme hémorragie post-partum de la récitation du Coran. La chose qui est raconté est préoccupé par la personne sexuellement souillée seulement, en tant que telle ne doit pas réciter le Coran alors qu'il est sexuellement souillée. Ceci est basé sur le hadith d'Ali (RS). Quant à la femme menstruée ou des saignements post-partum, il ya le hadith d'Ibn 'Umar (RS), qui stipule:
"Ni la femme ayant ses règles, ni la personne sexuellement souillée est de réciter quelque chose du Coran."
Toutefois, il s'agit d'un hadith faible. C'est parce que c'est à partir de la narration de l'Ismail ibn Iyyash sur l'autorité des personnes du Hedjaz et il est faible quand il a rapporté d'après eux.
Toutefois, elle peut réciter de sa mémoire sans toucher le Coran. Quant à la personne sexuellement souillé, il / elle peut ne jamais réciter le Coran de mémoire ou toucher le Mushaf jusqu'à ce qu'il / elle fait le ghusl.
La différence entre les deux est ce laps de temps on est sexuellement souillée est très courte, car il peut faire le ghusl dès qu'il a commis l'acte avec son épouse. Le montant de temps n'est pas long et il est en contrôle de sa longueur, comme il peut faire le ghusl quand il le souhaite. Même si il ne peut pas trouver de l'eau, il peut faire le tayammum et prier ou réciter le Coran.
Toutefois, la femme indisposée ou des saignements post-partum n'a pas le contrôle de leurs longueurs, un tel contrôle est dans les mains d'Allah (SWT). Les menstrues et du post-partum prendre des jours. Par conséquent, il est permis pour eux de réciter le Coran afin qu'ils n'oublient pas ce qu'ils ont mémorisé et ainsi ils ne perdront pas le fond de le réciter. Il est également afin qu'ils puissent apprendre les lois de la charia à partir du Livre d'Allah (SWT).
Par conséquent, il est d'autant plus admissible pour elle de lire les livres de prières qui ont versets et les hadiths mélangés avec eux. Il s'agit de la vue correcte et est l'opinion correcte des savants - qu'Allah (SWT) leur fasse miséricorde - sur ce point. - Cheikh Ibn Baz (ra)
Les menstrues et Post-Partum Par rapport à la Musalla (Prier Ville et Masjid)
Obtenir Menstruations Alors que dans la mosquée
Si une femme n'est pas en mesure de quitter la mosquée par elle-même, alors il n'y a pas de mal à ce qu'elle fait. Toutefois, si une femme est capable de sortir par elle-même, il est obligatoire pour elle de quitter le plus rapidement possible. C'est parce que la femme ayant ses règles, la femme hémorragie post-partum et par personne sexuellement souillé n'est pas autorisé à s'asseoir dans la mosquée. - Jamaal al-Din Zarabozo
Ces fatawas sont de Fatawa islamique En ce qui concerne les femmes
Compilé par Muhammad bin Abdul-Aziz Al-Mousnad
Traduit par Jamaal al-Din Zarabozo
Et Allah sait mieux LA
Tout d'abord, les offres fondées sur la charia les femmes sexuellement souillés et ses règles en matière très différentes et des modes. Il ya beaucoup de différences entre eux:
1. Le défilé sexuellement pouvez à tout moment, il souhaite supprimer cet état. Il / elle peut faire le ghusl s'il n'y a pas d'eau, puis tayammum.
2. Femme ayant ses règles ne peut pas faire une telle, elle est dans cet état aussi longtemps que Allah (SWT) veut, jusqu'à ce que sa période touche à sa fin.
Recitiation du Coran par ses règles et les femmes des saignements post-partum a été rendu licite par les malékites, les hanbalites, les Shafis, Abou Hanifa et un certain nombre d'autres chercheurs. Il la preuve étant:
1. Hadith de Boukhari et Mouslim concernant la prière de l'Aïd. Rapporté Atiya Umm '(RA):
"J'ai entendu le Messager d'Allah (SAW) que les vierges non mariées et les filles matures et les femmes menstruées devrait sortir et de participer dans les bonnes actions ainsi que les invocations des croyants fidèles, mais les femmes menstruées doivent tenir à l'écart de la Musalla - lieu de prière [ Salat (prière)]. Quelqu'un a demandé (Umm 'Atiya) (étonnamment), "Ne vous dites que les femmes menstruées?" Elle répondit: "Ne pas assister femme menstruée' Arafat (le Hajj) et tels et tels actes (autres) ? "
Takbir est un type de souvenir d'Allah (SWT) et des supplications, n'est pas différente de dhikr.
2. Hadith de Bukhari sur Aisha (RA) quand elle a obtenu ses règles sur le chemin de la Mecque. Rapporté 'Aisha (RA):
«Nous partîmes avec la seule intention d'accomplir le Hajj et quand nous sommes arrivés à Sarif, (11 km de La Mecque) j'ai eu mes règles. Le Messager d'Allah (SAW) est venu à moi pendant que je pleurais. Il a dit" Quelle est la question avec vous ? Avez-vous vos règles? Je lui ai répondu, "Oui." Il a dit, "C'est une chose qu'Allah (SWT) a ordonné pour les filles d'Adam. Alors fais ce que tous les pèlerins font, à l'exception de Tawaf (circumambulation) autour de la Ka'ba." 'Aisha (RA), a ajouté: «Le Messager d'Allah (SAW) a sacrifié des vaches pour le compte de ses épouses."
Les pèlerins font le dhikr et lire le Coran. Il n'y avait pas d'objection du Prophète (SAW) et il (SAW) en fait "dit" Aisha (RA) de le faire.
3. Une autre raison d'être des difficultés. Une femme peut oublier ce qu'elle mémorisé.
Ainsi donc, si il n'y a aucun texte interdisant un tel acte, on ne peut pas conclure que l'acte n'est pas admissible. Le fardeau de la preuve incombe à ceux qui prétendent que les femmes ne peuvent pas réciter le Coran, et ils n'offrent aucune preuve claire ou directe.
Il n'ya pas de mal que ce soit dans une femme menstruée ou une femme hémorragie post-partum en récitant le Coran à partir de leur mémoire sans toucher le Coran.
Toucher Le Coran Pendant menstrues et Post-Partum
Les preuves les plus souvent cités, est un Ayat du Coran:
«... Nul ne peut toucher, mais ceux qui sont purs ...» (Al-Waqi'a 56:79)
Une erreur commune, ce sont les gens qui prennent les versets et en l'appliquant à un particulier Fiqh (point). Pourtant, lorsque vous étudiez le verset plus en détail, vous trouverez, en fait, il n'est pas lié au point que ce soit.
"Cela (cette) est en effet un récital honorable (le Noble Coran). Dans un livre bien gardé (avec Allah dans le ciel c.-à-Al-Lauh Al-Mahfuz). Quel (ce Livre d'Allah) nul ne peut toucher, mais ceux qui sont purs des péchés (c.-à-anges). une révélation (le Coran) émane du Seigneur de l'Alamin (Coran, et tout ce qui existe). (Al-Waqi'a 56:77-80)
Mettre en contexte cette Ayat se réfère à «... un livre bien gardé», et cela signifie un livre d'Allah (SWT). Il ne parle pas le Coran physique que nous avons en notre présence ici.
Ibn Abbas (RA) et d'autres, ainsi que les premiers savants, d'accord que ce verset ne parle pas sur le Coran que nous avons dans nos mains. Un livre bien gardé se réfère à quelque chose qui est caché (Maknoon). Il ne se réfère pas au Coran que nous avons en notre présence. Les premiers érudits tous d'accord à cette conclusion.
"... Dans un livre bien gardé (avec Allah dans le ciel c.-à-Al-Lauh Al-Mahfuz)."
(Al-Waqi'a 56:78)
Selon le Tafsir de Tabari et Kathir et aussi en fonction de Jamal al-Din al-Qasami, cette Ayat n'est pas en référence à l'homme ayant à être exempts d'impuretés.
"Quel (ce Livre d'Allah) nul ne peut toucher, mais ceux qui sont purs de péchés (c'est à dire les anges)." (Al-Waqi'a 56:79)
Ce verset en référence à l'humanité et non pas des anges. Dans un Hadith rapporté par Abû Hurayrah (RA), le Prophète (SAW) déclare: «un croyant ne devient jamais impur."
«Le Prophète (SAW) est venu sur moi dans l'une des rues de la Médina et à ce moment-là j'étais Janab. Donc je me suis glissé loin de lui et alla prendre un bain. A mon retour le Prophète a dit," O Abou Hourayra! Où avez-vous été? "Je lui ai répondu," je n'étais Janab, si je n'aimais pas rester dans votre entreprise. "Le Prophète a dit," Subhan Allah! Un croyant ne devient jamais impur. "(Sahih Bukhari)
Il ya quatre significations possibles de Taher (pure) dans ce hadith:
1. spécifiquement, cela signifie «pur».
2. sans impureté majeure, où il est nécessaire de faire le ghusl.
3. exempt de souillure mineure, où il est nécessaire de faire ses ablutions.
4. pas d'impuretés sur le corps physique
Qu'est-ce que signifie dans ce Taher Hadith? Comment nous déterminons ce que cela signifie, c'est que nous regarder d'autres preuves qui se rapportent.
Evidences
1. Une lettre envoyée à l'empereur de Rome par le Prophète (SAW). Le Prophète (SAW) avait de bonnes raisons de croire que l'empereur serait-il toucher. Certains diront que un morceau de papier n'est pas le Coran si cela peut ne pas être un argument fort.
2. Dans Sahih Muslim Hadith du quand Aïcha (RA) a été envoyé, par le Prophète (SAW), d'entrer dans la mosquée pour obtenir une natte. Le Prophète (SAW) a dit à Aïcha (RA), "La menstruation n'est pas dans vos mains." Une touche féminine ne peut pas être considérée comme impure, même pendant les menstruations.
"Le Messager d'Allah (SAW) a dit à moi:. Donne-moi le tapis de la mosquée que j'ai dit: je suis menstruée Sur ce, il a fait remarquer:. '. Votre menstruation n'est pas entre vos mains» (Sahih Muslim)
1. Hadith qui dit: «Un croyant ne peut pas être impur." Un texte clair par le Prophète (SAW). Un croyant est considéré comme Taher en toutes circonstances. Par conséquent, croyant dans ce hadith signifie Taher. Le seul qui doit toucher le Coran est un croyant (c.-à-Un musulman).
2. Prenez le Ayat: «. Personne ne peut toucher, mais ceux qui sont purs (Taher)" Il n'ya aucune trace que ce soit du Prophète (SAW) dit croyants de ne pas toucher Coran.
Par conséquent, Taher signifie croyant (musulman).
Il n'y a aucune preuve qui indique que une femme qui en est à sa période ou une femme qui est d'avoir des saignements post-natale qu'elle ne peut pas toucher le Coran. Il s'agit d'une opinion minoritaire, mais il est le plus fort l'opinion.
UNE FEMME QUI EST SUR SON EXERCICE PEUT réciter le Coran Et une femme qui en est à sa PÉRIODE PEUT MEME TOUCHER LE CORAN ET LA LIRE DIRECTEMENT A PARTIR D'UN MUSAF (ARABE). C'EST une opinion minoritaire Pourtant, il est l'opinion la plus. Il n'existe aucune preuve à l'effet contraire et le fardeau de la preuve est sur ceux qui disent que ces femmes ne sont pas autorisés à toucher ou à réciter le Coran.
Les savants qui disent que le Coran est interdit de toucher à l'état de menstrues et hémorragie post-partum, de citer un hadith faible, ce qui a dans sa chaîne d'une personne déclarée un menteur par les savants du Hadith.
"Ni la femme ayant ses règles, ni la personne sexuellement souillée est de réciter quelque chose de le Coran."
De l'information de «Fiqh des décisions sur les questions de la femme" une conférence
par Jamaal al-Din Zarabozo
Lecture du Coran pendant les règles
Il n'existe aucune interdiction du prophète Muhammad (SAW) interdire à une femme de la lecture du Coran dans l'état de ses menstrues.
Il n'y a pas d'interdiction. Le Prophète Muhammad (SAW) ne s'y oppose pas. Tout ce que nous avons, c'est la déclaration du Prophète Muhammad (SAW) qu'il a utilisé pour réciter le Coran dans toutes les conditions sauf quand il était dans un état de janâba qui est postérieure à avoir des rapports sexuels quand il était nécessaire pour lui de prendre un bain.
C'est la base, c'est le fondement, à partir de laquelle toutes ces opinions différentes sont dérivées. Ainsi, certains chercheurs a fait une comparaison entre cet état de janâba avec celle des menstruations.
Mais bien sûr, ils ne sont pas les mêmes parce que l'état de janâba vous pouvez supprimer en se contentant de vous laver. Prendre un bain de votre état est terminée. Maintenant, vous pouvez maintenant lire le Coran. Alors que dans l'état de menstrues, une femme ne peut pas s'en laver elle-même, puis vous pouvez aller lire. Elle est toujours dans cet état de menstrues.
Si nous traitons maintenant avec la traduction du Coran, la traduction des sens du Coran, alors tout ceci est sans importance à tout cela parce que les traductions du Coran ne sont pas considérés comme Coran. Donc, peu importe dans quel état vous vous trouvez, vous pouvez le lire, vous pouvez le ramasser, vous pouvez le toucher, il n'ya aucun problème du tout parce que le Coran que nous avons, même si le texte arabe est là aussi, n'est pas encore considéré comme le Coran.
La position générale qui se tient dans la détermination de ce qui est considéré le Coran et ce qui n'est pas, c'est que chaque fois que les mots de l'autre en dehors d'Allah (SWT), dans un texte donné, est plus que les paroles d'Allah (SWT), ce texte est pas plus considéré comme le Coran, car le Coran se réfère à un seul verset, si nous prenons un verset du Coran par lui-même ce qu'on appelle le Coran aussi. Mais s'il arrive avec ce verset, d'autres termes, vous avez donné une explication de celui-ci qui est plus que ce qui constitue le verset, alors c'est le Coran n'est plus considéré comme.
C'est le jus du fait, que le Prophète Muhammad (SAW) a envoyé des messages aux rois de Byzance et la Perse, etc qui ont versets du Coran en elle. Il (SAW) savait très bien que ces gens allaient être dans un état de janâba, qu'ils étaient Kafr et qu'ils seraient probablement le déchirer, peut-être marcher dessus ou que ce soit.
Nous savons donc qu'il est permis qu'une fois que les paroles d'Allah (SWT) sont noyés par les mots des autres en dehors d'Allah (SWT), qui est le cas des traductions du Coran, puis dans un tel cas n'est pas considéré comme être Coran et en tant que telle, il est parfaitement admissible pour une femme de le lire sous n'importe quel état.
De l'information de «Devoirs d'un mari musulman" une conférence donnée par cheikh Abou-Phillips Ameenah Bilal
Il est admissible pour une femme ayant ses règles de réciter le Coran et Livres de supplications
Il n'y a pas de mal à une femme menstruée ou des saignements post-partum la lecture des livres de prières qui sont écrites pour les rites du pèlerinage. En fait, il en a rien de mal avec elle réciter le Coran selon l'opinion correcte. Il en aucune foi, un texte clair interdisant à une période de menstruation ou de la femme hémorragie post-partum de la récitation du Coran. La chose qui est raconté est préoccupé par la personne sexuellement souillée seulement, en tant que telle ne doit pas réciter le Coran alors qu'il est sexuellement souillée. Ceci est basé sur le hadith d'Ali (RS). Quant à la femme menstruée ou des saignements post-partum, il ya le hadith d'Ibn 'Umar (RS), qui stipule:
"Ni la femme ayant ses règles, ni la personne sexuellement souillée est de réciter quelque chose du Coran."
Toutefois, il s'agit d'un hadith faible. C'est parce que c'est à partir de la narration de l'Ismail ibn Iyyash sur l'autorité des personnes du Hedjaz et il est faible quand il a rapporté d'après eux.
Toutefois, elle peut réciter de sa mémoire sans toucher le Coran. Quant à la personne sexuellement souillé, il / elle peut ne jamais réciter le Coran de mémoire ou toucher le Mushaf jusqu'à ce qu'il / elle fait le ghusl.
La différence entre les deux est ce laps de temps on est sexuellement souillée est très courte, car il peut faire le ghusl dès qu'il a commis l'acte avec son épouse. Le montant de temps n'est pas long et il est en contrôle de sa longueur, comme il peut faire le ghusl quand il le souhaite. Même si il ne peut pas trouver de l'eau, il peut faire le tayammum et prier ou réciter le Coran.
Toutefois, la femme indisposée ou des saignements post-partum n'a pas le contrôle de leurs longueurs, un tel contrôle est dans les mains d'Allah (SWT). Les menstrues et du post-partum prendre des jours. Par conséquent, il est permis pour eux de réciter le Coran afin qu'ils n'oublient pas ce qu'ils ont mémorisé et ainsi ils ne perdront pas le fond de le réciter. Il est également afin qu'ils puissent apprendre les lois de la charia à partir du Livre d'Allah (SWT).
Par conséquent, il est d'autant plus admissible pour elle de lire les livres de prières qui ont versets et les hadiths mélangés avec eux. Il s'agit de la vue correcte et est l'opinion correcte des savants - qu'Allah (SWT) leur fasse miséricorde - sur ce point. - Cheikh Ibn Baz (ra)
Les menstrues et Post-Partum Par rapport à la Musalla (Prier Ville et Masjid)
Obtenir Menstruations Alors que dans la mosquée
Si une femme n'est pas en mesure de quitter la mosquée par elle-même, alors il n'y a pas de mal à ce qu'elle fait. Toutefois, si une femme est capable de sortir par elle-même, il est obligatoire pour elle de quitter le plus rapidement possible. C'est parce que la femme ayant ses règles, la femme hémorragie post-partum et par personne sexuellement souillé n'est pas autorisé à s'asseoir dans la mosquée. - Jamaal al-Din Zarabozo
Ces fatawas sont de Fatawa islamique En ce qui concerne les femmes
Compilé par Muhammad bin Abdul-Aziz Al-Mousnad
Traduit par Jamaal al-Din Zarabozo
Et Allah sait mieux LA