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عبد الواحد الصقلي
Guest
Les preuves liées à l’interdiction de s’allier aux mécréants
Extrait du livre
Le petit-fils du Cheîkh de l'Islâm, Mouḥammad Ibn `Abd al-Wahhâb, l'Imâm, le réformateur, le savantissime, Soulaîmân Ibn `Abd Allâh Āl al-Cheîkh, qu'Allâh lui fasse miséricorde, dit : « Sache, qu’Allâh te fasse miséricorde! Que lorsque l’homme fait semblant d’être d’accord (mouwâfaqa) avec la religion (dîn) des idolâtres (mouchrikînes) par peur (khawf) d’eux, par flatterie (moudârâ) ou par adulation (moudâhana), afin d’écarter leur mal, alors c’est un mécréant (kâfir) comme eux, même si en réalité il déteste leur religion et les déteste, et qu’il aime l’Islâm et les musulmans. Tel est son statut si c’est la seule chose qui survient de sa part, alors que dire de celui qui vit dans un pays puissant, et fais appel à eux, entre dans leur obéissance, leur montre de l’accord sur leur religion fausse, les aide en les secourant et en les finançant, fait alliance avec eux et rompt son alliance avec les musulmans, et devient un soldats des mausolées, de l’idolâtrie et de ses partisans, après avoir été un soldat de la pureté du culte, du monothéisme et de ses adeptes ? Certes, le musulman ne doute pas qu’une telle personne soit un mécréant parmi les pires des ennemis d’Allâh et de Son Messager (çallá Allâhou `alaîhi wa-sallam) et il n’y a aucune exception à cela si ce n’est celui qui y est constraint (mukrah), c’est à dire celui qui est dominé par les idolâtres qui lui disent «Abjures de ta foi et fais ceci, sinon nous te tuerons» ou qu’ils le torturent jusqu'à ce qu’il soit d’accord. Dans ce cas, il lui est permis de montrer de l’accord par sa langue, mais en restant convaincu de la foi dans son cœur… » (pp. 2-3)
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Extrait du livre
Le petit-fils du Cheîkh de l'Islâm, Mouḥammad Ibn `Abd al-Wahhâb, l'Imâm, le réformateur, le savantissime, Soulaîmân Ibn `Abd Allâh Āl al-Cheîkh, qu'Allâh lui fasse miséricorde, dit : « Sache, qu’Allâh te fasse miséricorde! Que lorsque l’homme fait semblant d’être d’accord (mouwâfaqa) avec la religion (dîn) des idolâtres (mouchrikînes) par peur (khawf) d’eux, par flatterie (moudârâ) ou par adulation (moudâhana), afin d’écarter leur mal, alors c’est un mécréant (kâfir) comme eux, même si en réalité il déteste leur religion et les déteste, et qu’il aime l’Islâm et les musulmans. Tel est son statut si c’est la seule chose qui survient de sa part, alors que dire de celui qui vit dans un pays puissant, et fais appel à eux, entre dans leur obéissance, leur montre de l’accord sur leur religion fausse, les aide en les secourant et en les finançant, fait alliance avec eux et rompt son alliance avec les musulmans, et devient un soldats des mausolées, de l’idolâtrie et de ses partisans, après avoir été un soldat de la pureté du culte, du monothéisme et de ses adeptes ? Certes, le musulman ne doute pas qu’une telle personne soit un mécréant parmi les pires des ennemis d’Allâh et de Son Messager (çallá Allâhou `alaîhi wa-sallam) et il n’y a aucune exception à cela si ce n’est celui qui y est constraint (mukrah), c’est à dire celui qui est dominé par les idolâtres qui lui disent «Abjures de ta foi et fais ceci, sinon nous te tuerons» ou qu’ils le torturent jusqu'à ce qu’il soit d’accord. Dans ce cas, il lui est permis de montrer de l’accord par sa langue, mais en restant convaincu de la foi dans son cœur… » (pp. 2-3)
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