Réjouis-toi du plus beau jour que tu aies jamais connu depuis que ta mère t'a mis au

omm mohammad

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السلام عليكم ورحمة الله وبركاته
as salam aleikum wa rahmatuallah wa barakatu

« Réjouis-toi du plus beau jour que tu aies jamais connu depuis que ta mère t'a mis au monde. »

Mépriser pour le bien de l'Islam

Ka’ab ibn Malik


Après la conquête de la Mecque, après que le Prophète(صلى الله عليه و سلم en ait pris le contrôle et que les gens soient devenus musulmans, César se rendit compte de la puissance des musulmans et il décida qu’il devait y mettre fin. Et donc il prépara une grande armée ; des Byzantines et tribus arabes du Nord préparèrent une armée pour éliminer le Prophète (صلى الله عليه و سلم et ses compagnons.

Quand les nouvelles de cette grande armée qui s’apprêtait à les attaquer parvinrent au Prophète (صلى الله عليه و سلمet à quelques compagnons, la peur commença à gagner les cœurs des musulmans. Le Prophète (صلى الله عليه و سلمdécida qu’ils devaient aller et combattre ces gens à Tabouq.

Normalement, toutes les fois qu’il sortait avec une armée, le Prophète (صلى الله عليه و سلم disait à l’armée d’aller vers une direction et ensuite durant le voyage ils changeaient les indications et ainsi personne ne savait exactement où ils allaient. Mais à cause de la sévérité de cette bataille et parce que c’était une si longue distance et parce qu’ils quittaient pendant l’été, et durant l’été, la chaleur pouvait tuer les gens, le Prophète (صلى الله عليه و سلم leur dit à tous où ils allaient pour qu’ils puissent préparer les provisions adéquates.

Et donc le Prophète(صلى الله عليه و سلم leur dit qu’ils allaient à Tabouq. Tous les compagnons, toutes les personnes qui n’avaient pas une excuse, comme la maladie ou l’hypocrisie, tous acceptèrent ceci du Prophète (صلى الله عليه و سلم et se préparèrent pour cette bataille.

Incha Allah ta'ala, nous voulons passer du temps avec une de ces personnes qui a raté la bataille, en d’autres termes avec Ka’ab ibn Malik radi Allahu ‘anhu.

Ka’ab ibn Malik radi Allahu ‘anhu en fait raconte l’histoire entière rapportée dans Sahih Al-Bukhari et Sahih Muslim. Ka’ab ibn Malik dit que ce jour-là, quand les gens sortirent, « Par Allah je n’ai jamais eu autant de fortune que le jour où les gens sortirent pour Tabouq. » Et il dit, « Par Allah, je n’ai jamais eu plus de fortune, de force, je n’ai jamais été dans une meilleure position de sortir pour une bataille que ce jour-là. »

Mais, vous allez voir comment la procrastination est maléfique. Quand le Prophète (صلى الله عليه و سلم et les compagnons se préparaient pour la bataille, il disait, « j’irai et je me préparerai ». Mais le jour prenait fin et il n’avait rien préparé. Et ensuite le jour suivant venait et il disait qu’il les rattraperait et ils étaient partis et les jours passaient et il disait, « je les rattraperai, je les rattraperai. » Jusqu'à ce que finalement, des nouvelles arrivèrent disant que le Prophète (صلى الله عليه و سلم était sur le chemin du retour puis que la bataille avait eu lieu et qu’il était revenu.

Ka'ab ibn Malik sortait et il voyait les hypocrites, les gens qui n’avaient pas joint les compagnons, les gens qui disaient aux compagnons, « Pourquoi allez-vous à cette bataille ? Il fait si chaud dehors. » Ceux-ci étaient les gens qu’Allah subhanahu wa ta'ala a réfuté en disant, « Dis : « Le feu de l'Enfer est plus intense en chaleur », plus intense que la chaleur de l’été. Ka'ab ibn Malik dit qu’il devint très angoissé parce qu’il voyait juste les hypocrites et tout le monde les connaissait en tant que tels et il se rendit compte qu’il serait rangé dans la même catégorie.

Quand le Prophète (صلى الله عليه و سلم revint, et il revenait durant la journée, la première place où le Prophète (صلى الله عليه و سلم allait, était la mosquée. Et ici nous apprenons de la sounnah de Rasul Allah (صلى الله عليه و سلم qu’une personne de retour de voyage devrait commencer par aller à la mosquée et y prier deux rak’ahs.

Le Prophète(صلى الله عليه و سلم alla à la mosquée et pria ses rak’ahs et ensuite les gens commencèrent à venir. Tous ceux qui n’étaient pas allés pour la bataille venaient au Prophète sal Allahu alayhi wa sallam et ils commençaient à expliquer et donner des excuses, en fait des mensonges, de la raison pour laquelle ils n’étaient pas partis pour la bataille. Et ils étaient connus comme des hypocrites.

Donc l’un après l’autre, ils venaient au Prophète (صلى الله عليه و سلم et ils lui donnaient une excuse en disant, « je faisais ci » ou « je faisais ça », « je n’étais pas capable. » Le Prophète sal Allahu alayhi wa sallam demandait pardon pour eux et les laissait partir.

Jusqu'à ce que Ka’ab ibn Malik vint. Ka’ab ibn Malik dit qu’il était très éloquent pour discourir mais quand il vint au Prophète sal Allahu alayhi wa sallam ce jour-là, il lui dit qu’il avait préparé des mensonges qu’il lui dirait, des excuses pour éviter la colère du Prophète. Mais il dit, « dès que je vis le Prophète (صلى الله عليه و سلمj’ai annulé tous ces mensonges que j’allais dire » et il dit, « Aujourd’hui, rien ne me sauvera sauf la vérité. »

Et donc il alla au Prophète sal Allahu alayhi wa sallam et dit, « Wallahi, j’ai été doté d’éloquence et si je me serais assis devant n’importe qui d’autre, j’aurais pu mentir et pu me sauver de sa colère. Mais ya Rasul Allah, je peux te satisfaire aujourd’hui et tu peux ne pas être en colère avec moi aujourd’hui, mais peut-être demain, si je te mens aujourd’hui, Allah pourra te mettre en colère contre moi. » Et il dit, « mais si je te dis la vérité aujourd’hui, peut-être demain, en espérant la miséricorde d’Allah subhanahu wa ta'ala, peut-être demain Allah subhanahu wa ta'ala sera satisfait de moi. »

Et donc il dit que quand il vint au Prophète sal Allahu alayhi wa sallam, le Prophète (صلى الله عليه و سلم lui sourit et il dit « le sourire de quelqu’un qui est en colère. » Et quand Ka’ab ibn Malik lui dit ceci, le Prophète(صلى الله عليه و سلم répondit, « Quant à cette personne, elle a dit la vérité. »

Le Prophète (صلى الله عليه و سلمsavait que toutes les personnes qui étaient venues à lui, lui avaient menti. Mais il dit, « Quant à cette personne, elle a dit la vérité. » Et il dit à Ka’ab ibn Malik de repartir jusqu'à ce qu’Allah subhanahu wa ta'ala décide de son affaire.

Quand Ka’ab ibn Malik quitta la mosquée, des gens de Bani Salim vinrent à lui et commencèrent à lui dire, « Pourquoi lui as-tu dit ça? Tu aurais pu dire ceci ou cela. N’as-tu pas vu que le Prophète (صلى الله عليه و سلم demandait le pardon pour eux et leur pardonnait et les laissait partir? » Ils dirent, « tu t’es mis toi-même dans cette position » et parce qu’ils continuèrent à insister, Ka’ab ibn Malik dit, « j’aurais souhaité avoir pu retourné et mentir au Prophète (صلى الله عليه و سلم. J’aurais souhaité avoir pu me contredire et retourner inventer une excuse. »

Ensuite Ka’ab ibn Malik radi Allahu ‘anhu leur demanda, « y a-t-il quelqu’un d’autre dans ma situation? » Ils dirent oui. Il y avait deux compagnons qui avaient fait la même chose que ce que Ka’ab ibn Malik radi Allahu ‘anhu avait fait. Et quand Ka’ab ibn Malik sut que ces deux personnes étaient des gens de Badr, il resta alors ferme dans la vérité qu’il avait déclarée.

Après cela, le Prophète sal Allahu alayhi wa sallam commanda à tout le monde de ne pas parler à Ka’ab ibn Malik et ses deux compagnons, et de ne pas avoir affaire avec eux, et que tout le monde les boycotte.

Les deux compagnons restaient chez eux et Ka’ab ibn Malik radi Allahu ‘anhu allait à la mosquée. Il disait, « la terre que je connaissais si bien n’était plus la même. » Et les temps avaient changé, la façon dont les gens le traitaient avait changé. Il dit qu’il allait à la mosquée et personne ne lui disait assalamu alaikum. Et il essayait d’aller vers le Prophète (صلى الله عليه و سلمet de dire : « Assalamu alaikum ya Rasul Allah » et il regardait pour essayer de voir si les lèvres du Prophète sal Allahu alayhi wa sallam bougeraient en réponse à son salam, mais il n’aurait pu le dire. Et il disait qu’il pouvait entrer dans la mosquée et regarder le Prophète (صلى الله عليه و سلم mais le Prophète sal Allahu alayhi wa sallam ne le regardait pas. Mais après, quand il détournait son regard, le Prophète (صلى الله عليه و سلم se tournait vers lui et le regardait, mais dès qu’il regardait en retour le Prophète(صلى الله عليه و سلم se détournait encore.

Durant la bataille de Tabouq, le Prophète,(صلى الله عليه و سلم en fait s’enquérait de Ka’ab ibn Malik. Un des compagnons avait répondu que rien n’avait diminué de Ka’ab ibn Malik excepté qu’il était heureux de son habillement et de sa fortune. Mu’adh radi Allahu ‘anhu répliqua en disant : « Quelle mauvaise chose que celle que tu as dite » et il se tourna vers le Prophète (صلى الله عليه و سلم et dit, « Ya Rasul Allah, nous ne savons que du bien à propos de Ka’ab. »

Et donc en fait, dans le sharh de ce hadith, Imam Nawawi rahimahullah dit qu’on apprend de ceci, de cet exemple du compagnon, que quand un frère musulman se trouve devant quelqu’un qui médit d’un frère musulman devant toi, il n’est pas suffisant de rester silencieux, mais que tu dois répliquer et dire à la personne que c’est mal et ce n’est pas ce qu’un musulman doit faire. Nous devons faire comme Mu’adh radi Allahu ‘anhu a fait en répliquant au compagnon.

Ka’ab ibn Malik radi Allahu ‘anhu comme nous l’avons dit, allait à la mosquée et essayait de savoir si le Prophète (صلى الله عليه و سلم lui répondrait. Et il continuait à s’attrister et Allah subhanahu wa ta'ala décrit la tristesse dans laquelle ils se trouvaient.

Il dit, subhanahu wa ta'ala, « Jusqu’à ce que la terre se ferma sur eux et les comprima. » Et remarquez que vous verrez des gens, ayant les plus grands châteaux au monde, mais quelque soit la valeur de leur propriété, parce qu’ils se sont détournés d’Allah subhanahu wa ta'ala, Allah subhanahu wa ta'ala resserre leur subsistance.

Allah subhanahu wa ta'ala dit, « quiconque se détourne de Moi », ils disent danka dans un de ses sens littéraux, ceci est comparable à avoir un sinus, ou le nez bouché. Parce ce que quand une personne se détourne c’est comme s’il est à l’étroit et se bouche lui-même, et il ne peut pas apprécier les biens matériels qu’il a.

Et donc ici, car ils ne sont pas allés à la bataille, Allah subhanahu wa ta'ala décrit la situation dans laquelle ils étaient – bien qu’ils avaient la terre large devant eux, c’était comme s’ils étaient à l’étroit à leurs propres yeux.

Cependant, quelqu’un peut avoir la terre étroite devant eux, c’est-à-dire qu’ils peuvent être pauvres et vivre dans une hutte, mais ils ont un cœur expansif (ouvert, confiant). Ils ont un cœur confiant car ils croient en Allah et Son Messager. Et donc leur cœur s’ouvre au point où ils sont contents de ce qu’ils ont et qu’ils vivent comme s’ils étaient au Paradis, satisfaits de ce qu’Allah subhanahu wa ta'ala leur a donné.

Allah subhanahu wa ta'ala dit, « Et leurs âmes » et leurs coeurs « sont à l’étroit de l’intérieur. » Donc dans les deux sens, sur la terre et tout autour d’eux et même dans leur coeur, ils étaient à l’étroit.

Et donc Ka’ab ibn Malik radi Allahu ‘anhu errait avec sa tristesse et il alla au jardin d’Abu Qutada radi Allahu ‘anhu, qui était un cousin et une des personnes les plus aimées de Ka’ab ibn Malik. Il se monta sur la haie et dit, « Assalamu alaikum Abu Qutada », et Abu Qutada ne répondit pas. Il continua à dire encore et encore, « Assalamu alaikum, assalamu alaikum », et Abu Qutada radi Allahu ‘anhu ne lui répondait pas.

Et il dit alors, « Ô mon cousin! Ne sais-tu pas que j’aime Allah et Son Messager? Ne sais-tu pas et n’as-tu pas appris de mon exemple que vraiment j’aime Allah et Son Messager ? » Ka’ab ibn Malik radi Allahu ‘anhu ensuite garda le silence et Abu Qutada radi Allahu ‘anhu dit, « Allah sait mieux – Allahu a’lam. »

Il a dit Allah sait mieux si tu aimes vraiment Allah et Son Messager. Et Ka’ab ibn Malik, en entendant ceci, descendit de la haie et commença à pleurer. Le quarantième jour, en réalité cela dura 50 jours, le Prophète sal Allahu alayhi wa sallam leur ordonna qu’ils se séparent de leurs femmes.

Maintenant remarquez, en fait qu’avant ceci le roi Ghasaan des Romains avait envoyé une lettre à Ka’ab ibn Malik. Ka’ab ibn Malik était alors au marché quand il vit un homme venir; un voyageur, et tout le monde pointant du doigt vers lui, Ka’ab. Ce voyageur vint alors à Ka’ab avec une lettre du roi Ghasaan. Et maintenant voici ce à quoi le roi l’appelait, en disant dans la lettre : « Des nouvelles nous sont parvenues que ton compagnon, Rasul Allah,(صلى الله عليه و سلم s’est détourné de toi. Viens à nous. Allah subhanahu wa ta'ala n’a pas fait de cette terre un lieu d’étroitesse et d’inconfort pour toi. Viens à nous et nous te donnerons du confort. Nous te donnerons de l’honneur. »

Quand Ka’ab ibn Malik radi Allahu ‘anhu lut la lettre, il dit : « Par Allah, ceci est encore l'une de ces épreuves de la part d’Allah subhanahu wa ta'ala. » Et ensuite, il fit un cercle, puis un foyer, et pris cette lettre et la jeta dans le feu.
Maintenant au quarantième jour, le Prophète (صلى الله عليه و سلمdépêcha le message que ces trois personnes devaient se séparer de leurs femmes. Et Ka’ab ibn Malik radi Allahu ‘anhu immédiatement dit, « Dois-je la divorcer ou juste m’en séparer? » et ils dirent, « Non, le Prophète (صلى الله عليه و سلم a dit de se séparer d’elle. »

Un autre de ses compagnons était âgé, et donc sa femme alla chez le Prophète (صلى الله عليه و سلم et demanda au Messager d’Allah (صلى الله عليه و سلمla permission de rester avec son mari le servir parce qu’il était trop pauvre pour avoir sa propre domestique ou sa propre servante. ,(صلى الله عليه و سلم dit : « Mais ne le laisse pas s’approcher de toi. » Puis, elle dit : « Par Allah, il n’a pas arrêté de pleurer depuis le jour ou ceci a commencé. Par Allah, il est incapable de quoi que ce soit. »

Et donc ceci montre que ces gens languissaient de recevoir la miséricorde d’Allah subhanahu wa ta'ala et languissaient de recevoir la tawbah d’Allah subhanahu wa ta'ala, jusqu'à ce que vint le cinquantième jour.

Et en fait, les parents de Ka’ab ibn Malik lui avaient dit d’aller au Messager d’Allah sal Allahu alayhi wa sallam et de demander que sa femme le serve aussi comme il avait accordé cette permission à l’autre compagnon. Et Ka’ab ibn Malik dit, « Par Allah, je suis plus jeune que cet homme et je suis plus capable et j’ai peur de ce que le Prophète (صلى الله عليه و سلم pourrait dire si je demande une telle chose. » Il dit, « Par Allah, je ne demanderais pas cela » - que sa femme reste avec lui.

Et donc au cinquantième jour, Ka’ab ibn Malik radi Allahu ‘anhu était en train de prier fajr sur un des toits et comme il complétait sa prière de fajr un cavalier arriva en courant et il appelait. Il disait : « Réjouis-toi de la bonne nouvelle Ô Ka'b Ibn Malik! Car en vérité, Allah subhanahu wa ta'ala t’a pardonné. Allah subhanahu wa ta'ala t’a pardonné. » Et Ka’ab ibn Malik radi Allahu ‘anhu immédiatement fit une sajdah (prosternation) pour Allah subhanahu wa ta'ala et pour la tawbah accordée par Allah subhanahu wa ta'ala.

Très souvent je me souviens de Shaykh Al-Uthaymeen hafidhullah. Il disait qu’au moment du hajj quand les gens faisaient des fautes dans le hajj, la chose la plus simple à faire quand ils l’apprenaient, était de demander pardon à Allah, mais qu’il n’y avait pas de pénalité matérielle. La personne disait, « Oh! Juste demander pardon? Ok, pas de problème. » Mais tu verras la façon dont les compagnons demandaient pardon à Allah subhanahu wa ta'ala et comme ils se languissaient et passaient leur temps espérant la récompense et la miséricorde et le pardon d’Allah subhanahu wa ta'ala.

Quand Ka’ab ibn Malik radi Allahu ‘anhu entendit qu’Allah lui avait pardonné, il fit une sajdah à Allah subhanahu wa ta'ala. Et puis, immédiatement après avoir complété sa sajdah, il enleva ses vêtements et les donna comme sadaqa à cet homme qui lui était venu.
Et comme il marchait – tout ceci en raison de son bonheur – quand il marcha entrant dans Médine, les gens venaient à lui et le félicitaient pour le pardon d’Allah subhanahu wa ta'ala. Et en effet, c’est quelque chose pour laquelle une personne doit être félicitée. Rien dans le monde matériel n’est pour toi égal au pardon d’Allah subhanahu wa ta'ala.

Et quand il entra dans la mosquée, parmi les Muhajirin juste une personne, Talha radi Allahu ‘anhu, se leva et serra la main de Ka’ab ibn Malik. Et il dit, « Par Allah, je n’oublierai jamais cet acte de Talha radi Allahu ‘anhu » – qu’il se soit levé et lui ait donné une étreinte et lui ait annoncé de se réjouir.

Et ensuite le Prophète (صلى الله عليه و سلم dit, « Réjouis-toi du plus beau jour que tu aies jamais connu depuis que ta mère t'a mis au monde. »


Cette histoire donne des frissons dans le dos (et on voit, dans cette khutba, que l'on peut en tirer plusieurs sagesses).
On voit comment le 'ilm est une lumière et que l'ignorance dans ténèbres pour nous. Si l'on ne connaît pas notre religion ni la sira et si l'on juge à l'aune de notre environnement, on ne sera jamais dans le vrai.
qu'Allâh nous permette de mieux connaître son Prophète , modèle pour mieux L'adorer.

fi amaneallah

omm mohammad
 
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