L'essence des faits

macoooo

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C'est le prophète Muhammad qui a écrit le Coran.

Faux. Le prophète Muhammad était un illettré, il ne savait ni lire, ni écrire. Il a reçu la révélation de l'Ange Gabriel (car Dieu est trop supérieur pour s'adresser directement à un humain, il envoie ses anges, êtres parfaits) Le Coran a été dicté par le prophète et apprit par coeur par ses compagnons et il a aussi été entièrement écrit par des scribes alors que le prophète était encore vivant. Une fois mort, les feuilles ont été recueillies et compilées par le Calife Uthman pour former le Coran. Dans le Coran, il est dit que Dieu assure lui même la protection des écritures. Tous les exemplaires du Coran dans le monde sont identiques à la lettre près, il n'en existe qu'une seule version, ce qui n'est pas le cas d'autres textes saints comme la bible par exemple.

Est-ce Que Muhammad (S.A.A.W) A Écrit Le Coran Pour Réunir Des Arabes?
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macoooo

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Les dangers des fausses rumeurs
Louange à Allah, prière et paix sur Son Envoyé ainsi que sur sa famille, sur ses Compagnons et sur ceux qui suivent le droit chemin.
La Loi divine vise à ce que la société islamique vive dans la paix, la fraternité, l’amour et la miséricorde, au point que ses membres forment un seul corps. A ce propos le Prophète () a dit : « L'image des croyants dans les liens d'amour, de miséricorde et de compassion qui les unissent les uns aux autres est celle du corps: dès que l'un de ses membres est malade, tout le reste du corps souffre d'insomnie et de fièvre.»


C’est pour cela que la Loi divine installe profondément dans l’âme des musulmans l’idée qu’ils sont comme des frères, laquelle idée est parfaitement résumée dans cette sentence de notre Prophète () : « Le musulman est le frère du musulman ». La Loi divine interdit à quiconque de commettre des actes ou de dire des paroles qui saperaient cette fraternité fondée sur la foi ou qui nuiraient aux bonnes relations sociales entre les musulmans d’une société donnée. Parmi les choses qui mettent le plus en péril les sociétés et qui leur nuisent au plus haut point on trouve les rumeurs, lesquelles sont créées, puis propagées et diffusées par des gens sans religion et en qui il est impossible de faire confiance, ces individus constituent la lie de la société, ils se font l'écho des pires ignorants.



Cher frère, si tu veux connaître les conséquences destructrices des rumeurs, il te suffit de savoir qu’aujourd’hui certains pays s’intéressent de très près à ces dernières. Ainsi, certains services de renseignements de ces pays se sont spécialisés dans la création, l’observation ou encore l’analyse des rumeurs. Il semblerait d’ailleurs que ces services ont été capables d’inventé des rumeurs qui ont provoqué des renversements de régimes ou ont été la cause de déstabilisations d’Etats ennemis.



Si tu observes l’histoire de l’Islam, tu dois te demander une chose : est-ce que l’assassinat du Prince des croyants ‘Uthmân ibn ‘Affân (surnommé «l’homme aux deux lumières ») (Radiya Allah Anhou) n’a-t-il pas eu essentiellement pour cause des rumeurs diffusées par des personnes malveillantes qui ont été captées par les oreilles des gens et répétées par leurs langues, lesquels gens n’ont absolument pas réfléchit à la gravité des paroles qu’ils ont aidé à répandre. Est-ce que les graves dissensions et autres batailles qui déchirèrent les musulmans et dont la cause fut l’assassinat de ‘Uthmân ne sont-elles pas les conséquences directes des rumeurs ?
Ô mon frère, médite le cas des premiers croyants parmi les Compagnons du Prophète (), ceux qui ont émigré vers l’Abyssinie armés de leur seule foi, laissant derrière eux leur famille, leur patrie et leurs biens, ils vécurent à l’ombre de la justice du roi de cette contrée, le Négus. Lorsqu’ils furent informés que les Mecquois s’étaient convertis à l’Islam, ils rentrèrent aussitôt à La Mecque ; toutefois, il s’avéra que la nouvelle de cette conversion massive n’était qu’une fausse rumeur. Après s’être assurés que cela était bien un mensonge, certains d’entre eux repartirent une seconde fois vers l’Abyssinie, mais ceux qui ne purent être du voyage furent châtiés par les gens de La Mecque. La principale cause de cette tragédie pour les musulmans ne fut-elle pas la rumeur ?


L’événement mensonger et les conséquences des rumeurs :
Cet événement mensonger qui a pour fondement une rumeur, laquelle fut répétée par les hypocrites et véhiculées par certains musulmans, a empêché de dormir les gens de la maison du Prophète () durant tout un mois. Les musulmans ont connu de graves dissensions et se sont déchirés à cause de cette fausse rumeur. La principale victime de cette dernière fut Aïcha, l’épouse bien-aimée de notre Prophète (). Voici de manière substantielle l’épreuve qu’a subie l’innocente Mère des croyants :
Du retour d'une expédition avec la Prophète (), lors d'une halte, Aïcha s'est éloignée du campement pour chercher son collier perdu alors que la caravane allait partir. Celle-ci s'ébranla donc sans Aïcha qui se retrouva seule dans la nuit au milieu de nulle part, elle retourna alors à l'endroit du campement où elle s'endormit. Ce n'est qu'au matin qu'un Compagnon, Safwân ibn al-Mu'attal al-Salmî, chargé d'assurer l'arrière-garde, retrouva Aïcha. Il la raccompagna donc pour rejoindre la caravane.


Quelques jours plus tard, des rumeurs malveillantes, initiées par 'Abdullah ibn 'Ubay ibn Salûl, commencèrent à circuler parmi des musulmans naïfs. D'ailleurs, un verset fut révélé concernant la diffusion de cette fausse rumeur : « Et pourquoi, lorsque vous l'entendiez, ne disiez-vous pas : "Nous ne devons pas en parler. Gloire à Toi (ô Allah) ! C'est une énorme calomnie ?" » (Coran 24/16).
Quand ces rumeurs arrivèrent aux oreilles du Prophète (), il en fut extrêmement choqué. De son côté, Aïcha, qui trouvait le Prophète () froid à son égard sans comprendre pourquoi, ne fut informée de ces racontars que plus tard, car elle était restée un moment alitée pour cause de maladie. Cette rumeur aggrava donc encore l'état de santé d'Aïcha, néanmoins elle se décida à en chercher la source. Le Prophète () en fit de même et rassembla donc des témoignages solides qui le confortèrent dans l'idée que son épouse était innocente.
Convaincu de l'innocence d'Aïcha, le Prophète () monta sur le minbar et appela à exécuter le chef de cette sédition, 'Abdallah ibn 'Ubay ibn Salûl, et innocenta Safwân ibn al-Mu'attal al-Salmî. Hélas, les deux tribus médinoises, les 'Aws et les Khazradj, entrèrent en conflit dans la mosquée au sujet de l'exécution d'Ibn Salûl. Le Prophète () dut intervenir pour calmer les esprits.

Après cet épisode, le Prophète () décida de se rendre chez Aïcha afin d'évoquer directement le problème avec elle. Le Prophète () s’assit et prononça les deux témoignages de foi puis dit:
« Ô Aïcha, il m'est parvenu telle et telle chose sur ton compte ; si tu es innocente, Allah, exalté soit-Il, t’innocentera ; si tu as commis quelque faute, demande pardon à Allah et repens-toi auprès de Lui. En effet, si le serviteur reconnaît son péché puis se repent auprès d'Allah, exalté soit-Il, Allah, exalté soit-Il, accepte son repentir ».


Quand elle entendit ses paroles, elle sécha ses larmes puis se tourna vers son père et dit : « Répondez aux paroles du Messager d'Allah () ». Il dit : « Par Allah je ne sais quoi dire au Messager d'Allah () ». Puis elle se tourna vers sa mère qui donna la même réponse que son père. A ce moment elle dit : « Vous avez écouté ce récit qui a trouvé un écho dans vos âmes et vous y avez cru. Si je vous dis que je suis innocente, et Allah, exalté soit-Il, sait que je le suis, vous ne me croirez pas. Si j'avoue cette affaire, alors qu'Allah sait mon innocence, vous me croirez. Par Allah, je ne trouve rien d’autre à vous dire que la parole du père de Yûsuf (Alaihi Salam) : « [Il ne me reste plus donc] qu'une belle patience ! C'est Allah qu'il faut appeler au secours contre ce que vous racontez ! » (Coran 12/18).

Et c'est suite à cela que neufs versets clairs porteurs de l'innocence éternels d'Aïcha ont été révélés au Prophète (). Ces versets constituèrent autant de preuves irréfutables de sa vertu et de sa chasteté et révélèrent la réalité des hypocrites. Allah le Très Haut dit : « Ceux qui sont venus avec la calomnie sont un groupe d'entre vous. Ne pensez pas que c'est un mal pour vous, mais plutôt, c'est un bien pour vous. A chacun d'eux ce qu'il s'est acquis comme pêché. Celui d'entre eux qui s'est chargé de la plus grande part aura un énorme châtiment. » (Coran 24/11).
Le malheur se dissipa finalement et la peine du Messager () se transforma en joie. Il lui dit : « Réjouis-toi Aïcha, Allah, exalté soit-Il, t'a déclarée innocente ». Sa mère lui dit : « Va le rejoindre ». Aïcha dit par reconnaissance de la révélation de son innocence par Allah, exalté soit-Il, et par confiance en la place qu’elle occupait dans le cœur du Prophète () : « Par Allah je n'irai pas à lui et c'est Allah Seul que je loue».


Cette histoire terrible n’a pas besoin de commentaires, elle est pour nous l’occasion de rappeler à ceux qui véhiculent de fausses rumeurs qu’ils sont les proies d’un grave danger et qu’un châtiment très douloureux les attend. Il est à noter que le Prophète () a vu ce châtiment le jour où il a accompli al-Isrâ` wa l-Mi’râdj. Ainsi, durant cette fameuse nuit le Prophète () vit un homme renversé sur le dos, debout à côté de lui un homme muni d’un crochet de fer avec lequel il lui lacérait l’une des joues. Il lui déchirait la bouche jusqu’aux vertèbres du cou, et lui déchirait le nez et les yeux également jusqu’aux vertèbres. Puis il passait de l’autre côté, et faisait exactement la même chose sur l’autre flanc. A peine un côté déchiqueté se reformait-il pour reprendre sa forme initiale que l’homme au crochet recommençait à faire ce qu’il avait fait précédemment. Le Prophète () s’écria : « Gloire à Allah ! Qui sont ces deux personnages ? » L’ange qui l’accompagnait lui répondit que l’homme supplicié sortait le matin de chez lui et disait un mensonge qui était colporté partout.
Quant à ceux qui entendent les fausses rumeurs puis les répètent et en parlent, ils sont directement visés par la parole du Prophète ().







 

macoooo

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Le travail de la femme en islam
. On doit dire clairement que l’islam ne demande jamais à la femme d’assumer la responsabilité du travail hors de sa maison, mais il ne l’empêche pas de le faire selon les règles de la charia. L’islam libère la femme de la responsabilité du travail hors de son domicile pour que ses exigences ne l’asservissent pas ou ne l’exploitent pas.


Réfléchissez bien sûr la situation actuelle dans le monde d’aujourd’hui où le facteur économique ou matériel joue un rôle primordial dans la vie. En islam, l’économie est un facteur non négligeable, mais il y a d’autres facteurs et d’autres critères. Pour les autres, le facteur matériel est le plus important et représente le standard de la meilleure vie sociale, ce qui a minimisé beaucoup de droits et de facteurs vitaux dans la vie en général. Selon cette fausse norme suivie à cette époque, la femme qu’elle soit une fille dans la maison de son père, une épouse dans son domicile conjugal est chargée de dépenser pour elle-même. On a inspiré à la femme de cette époque que tous, hommes et femmes, doivent chercher à tout prix

d’amasser la plus grande quantité d’argent et de jouissances matérielles. Dans un tel environnement, la fille sera obligée de sortir chaque matin, à l’instar de chaque individu de la société pour gagner sa vie. On inspire également à la femme qu’il est honteux de voir son père, compatissant envers elle, travailler péniblement alors qu’elle être se passe de chercher un travail pénible hors de sa maison. Pour eux, il est inacceptable que le mari soit responsable de dépenser pour elle et pour la protection de la famille, alors l’épouse aura besoin de perdre tout espoir et rencontrera les circonstances difficiles de la vie quotidienne.

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Les Droits Économiques De La Femme En Islam-Zakir Naik ...

 

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la polygamie légiférée pour celui qui en a les moyens et ne craint pas l’injustice,

car cela représente de nombreux intérêts comme la préservation de ses parties privées, [de celles] des femmes qu’il épouse, le bienfait qu’elles en tirent et l’augmentation de la progéniture, qui agrandit la oummah[1] et le nombre de ceux qui adorent Allah Seul [sans rien Lui associer]. La preuve en est la parole d’Allah, exalté soit-Il :

« Et si vous craignez de ne pas être justes envers les orphelins, alors épousez deux, trois ou quatre femmes parmi celles qui vous plaisent ; mais si vous craignez de ne pas être justes avec celles-ci, alors n'en épousez qu'une seule ou des esclaves que vous possédez. Cela, afin de ne pas faire d’injustice (ou afin de ne pas aggraver votre charge de famille).


».[2] Sachant que le Prophète – que la paix et la bénédiction d’Allah soient sur lui – a épousé plus d’une femme et qu’Allah – exalté soit-Il – a dit : « En effet, vous avez dans le Messager d’Allah un excellent modèle [à suivre], pour quiconque espère en Allah et au Jour dernier et se remémore Allah fréquemment »


.[3] Le Prophète – que la paix et la bénédiction d’Allah soient sur lui – a également réagi à propos de ce que certains compagnons ont dit : « Quant à moi, je ne mange pas la viande », un autre a dit : «Et moi, je prie et ne dors pas», un autre encore a dit : « En ce qui me concerne, je n’épouse pas les femmes ». Lorsque cela a été rapporté au Prophète – que la paix et la bénédiction d’Allah soient sur lui –, il s’adressa aux gens après avoir rendu grâce à Allah et L’avoir loué et dit : « Il m’a été rapporté telle et telle chose ; or, quant à moi, je jeûne et je mange, je prie et je dors, je mange la viande et j’épouse les femmes. Quiconque s’écarte de ma tradition n’est pas des miens. » [4] Cette éminente formule qui vient de lui – que la paix et la bénédiction d’Allah soient sur lui – concerne aussi bien l’individu que la communauté tout entière. »[5]

Pourquoi L'Islam Autorise La Polygamie (Plus Qu'une ...
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Ou bien des personnes ignorant l’Islam et qui ont entendu les gens dire quelque chose et l’ont répétée comme des perroquets – et combien sont les ignorants et les demi-lettrés à notre époque ! Il est possible que la plupart d’entre eux soient imprégnés de la culture occidentale, qu'ils aient tout étudié sauf l’Islam et aient connu toutes les sciences sauf celles de leur religion. Pour notre part, nous les appelons à connaître, rechercher, réfléchir et mettre ces questions à l’épreuve du Livre d’Allah et de la tradition de Son Messager – que la paix et la bénédiction d’Allah soient sur lui – et qu’ils ne se constituent pas en porte-voix de leur ennemi ni en propagateurs de sa rancœur cachée contre l’Islam. Allah – exalté soit-Il –dit : « Ni les Juifs ni les Chrétiens ne seront jamais satisfaits de toi, jusqu’à ce que tu suives leur religion »
Les catégories des opposants à la polygamie[1]

Il n’est d’époque ni de lieu dénué d’attaques contre l’Islam, qu'elles viennent du front des ennemis de l'Islam ou bien de ceux qui prétendent appartenir à l'Islam ou encore de ceux qui ont été trompés parmi nos congénères [arabes][2]. Ceux qui s'opposent à la polygamie peuvent être classés selon les catégories suivantes :

Ou bien des personnes ennemies à l'Islam et vindicatives à son égard, réalisant les machinations de ses ennemis et les aidant dans leur mauvaise entreprise, car ils savent que par le biais de la polygamie, le nombre des musulmans augmente. Or [ces individus] sont à l'affût des musulmans et souhaitent leur affaiblissement, tels certains pays qui ont appelé les musulmans à se suffire d’une seule épouse alors que dans le même temps les chrétiens appellent à l’augmentation de leur natalité et au mariage précoce, comme cela s'est produit en Egypte, par exemple, où le pourcentage des chrétiens est en augmentation constante, au point où pourrait poindre le jour où leur proportion pourrait les rendre majoritaires ; ils espèrent en effet en faire une seconde Andalousie – qu’Allah soit notre soutien – alors qu’il est évident pour nous qu’en plus de cette campagne, il en existe une autre appelant à la limitation de la natalité et de la descendance chez les musulmans.

La miséricorde, la clémence et le pardon en Islam - Hassan ...

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Ou encore des personnes à propos desquelles on ne peut dire que du bien, mais qui ont été touchées par une faiblesse de la personnalité musulmane et par l’amour de l’Occident, alors que l’Islam est à leurs yeux dans le box des accusés. Ces gens ont peur qu'on les qualifie, eux ou leur religion (l'Islam), de réactionnaires, et ceci, car ils n'ont pas une personnalité de vrais musulmans. J’ai d’ailleurs peur pour eux qu’ils adoptent des idées de la jâhiliyah (l'époque antéislamique caractérisée par l'ignorance), à mi-chemin [entre leur religion et ces dernières], en raison de leur tendance aux concessions concernant leur religion, prétextant qu'il est ainsi plus facile d'appeler [les gens] à l'Islam, et que le fait de présenter la religion dans une telle forme défigurée – c'est du moins ainsi qu'ils le considèrent – (c'est-à-dire présenter la religion sous sa forme réelle) risque d’écarter ceux qu’on y appelle ; et cela – par Allah – est une erreur grave et un mal alarmant.

Ou bien encore une épouse habitée par le désir de garder pour elle seule son mari et de s’en emparer totalement, [une épouse] qui n’aime pas le partager par égoïsme, au point d’oublier ses sœurs du même sexe qui souffrent de la solitude, de la tristesse et de la misère. Elle a également oublié le devoir de compassion, de miséricorde et d’affection à l’égard des femmes célibataires qui sont en détresse, et que, si elle était à la place de sa sœur musulmane privée du nid marital, elle souhaiterait être la troisième ou la quatrième [épouse] pour un même mari.]

L’on pourrait murmurer à l’oreille de ces opposants de la polygamie que les savants musulmans sont unanimes sur le fait que toute opposition ou toute répugnance à quelque chose prescrite dans le Livre d’Allah – exalté soit-Il – conduit le musulman à l’apostasie et le fait sortir du cercle de l’Islam. Il en est de même pour tout musulman qui renie un fait avéré [de la tradition du Prophète – que la paix et la bénédiction d’Allah soient sur lui] rapporté par de nombreuses voies et nécessairement connu de tous. Il s’ensuit donc que ceux qui renient la polygamie ou en ont de la répulsion ou y voient une injustice et une oppression de la femme sont considérés

comme des mécréants et des apostats ayant quitté leur religion. C’est pourquoi je préviens ces fraudeurs, comme je préviens ceux qui déforment la question de la polygamie en propageant ses inconvénients sans mentionner ses avantages, qui nourrissent la peur des gens et mettent la société en garde contre la polygamie dans les pays musulmans ; et je crains que la parole de d’Allah – exalté soit-Il – ne s’applique à eux : « Certes, si les hypocrites, ceux dont le cœur est malade, et les alarmistes [semeurs de troubles] à Médine ne cessent pas, Nous t’enverrons contre eux, et alors, ils n’y resteront que peu de temps en ton voisinage. Ils sont maudits. Où qu’on les trouve, ils seront pris et exécutés sans répit : telle était la loi établie par Allah envers ceux qui ont précédé et tu ne trouveras pas de changement dans la loi d’Allah ».[5],
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II- Les présomptions des opposants à la polygamie

Ceux qui ont contesté la légalité de la polygamie se sont fondés sur des arguments tantôt rationnels et tantôt basés sur des textes dont :

Première présomption :

Ils se sont fondés sur cette parole d’Allah : « Vous ne pourrez être parfaitement équitables entre vos femmes, même si vous vous y appliquez. Ne penchez donc pas totalement vers l’une d’elles, au point de laisser l’autre comme en suspens. Mais si vous améliorez vos œuvres et craignez Allah, alors Allah est, certes, Pardonneur et Miséricordieux. »[7]. Ils ont dit que ce verset confirme l’incapacité des hommes à être justes entre leurs épouses, et de la négation de la capacité [des hommes] à être justes on en déduit l'interdiction d’avoir plusieurs épouses.

L’on peut répondre à cela que le noble verset en question a établi [avec précision] le sens voulu par « l'équité » [mentionnée dans le verset] par l'application du concept d'équité prescrit au niveau légal au champ de la pratique réelle, et ceci, en tenant compte de la dimension humaine et affective dont l’homme dispose mais qu’il ne peut pas contrôler totalement. Ainsi, le musulman, malgré sa soumission à l’ordre de son Seigneur et son souci de faire régner la justice, ne peut être maître de ses sentiments et des penchants de son cœur pour une épouse au détriment d’une autre. Mais il doit s'efforcer, malgré cela, d'être équitable dans ce domaine (les sentiments) ; et s’il en est incapable malgré ses efforts, il est tenu de ne pas laisser [totalement] libre cours à ses sentiments [au dépend d'une de ses épouses].

C’est ce que confirme la fin du noble verset : « Mais si vous améliorez vos œuvres et craignez [Allah] », c’est-à-dire rééquilibrez [les différences], comblez [les manques] et rapprochez-vous autant que faire se peut de l'équité en toute chose ; mais s’il arrive un défaut involontaire, Allah le pardonne : « alors Allah est, certes, Pardonneur et Miséricordieux. »

Ainsi, ce que le verset signifie, c’est que l’impossibilité d’être équitable entre les épouses dans l’amour et notamment dans l’acte sexuel ne doit pas être un obstacle pour la polygamie. Mais le musulman doit avoir le souci permanent d’établir la justice en toute chose. Ainsi, si les sentiments sont déséquilibrés et que le cœur prenne un penchant net pour une femme au détriment de l’autre, il est interdit de laisser ce penchant prendre plus d'ampleur.

L’auteur du Manâr as-sabîl fî charh ad-dalîl dit : « Il faut que le mari soit équitable envers ses épouses par rapport au gîte ; il n’est pas obligatoire d’être équitable quant à la relation sexuelle et ses causes, car ces dernières sont de l’ordre du désir et de l’affection, et il n’est point en cela de possibilité d’équilibre. Allah – exalté soit-Il – dit : « Vous ne pourrez être parfaitement équitables entre vos femmes, même si vous vous y appliquez. Ne penchez donc pas totalement vers l’une d’elles, au point de laisser l’autre comme en suspens. Mais si vous améliorez vos œuvres et craignez Allah, alors Allah est, certes, Pardonneur et Miséricordieux. ».[8] À ce propos, Ibn cAbbâs a dit : « Le pardon d’Allah et Sa miséricorde mentionnés par ce verset concernent l’amour et l’acte sexuel ».[9]

Le Messager d’Allah – que la paix et la bénédiction d’Allah soient sur lui – alors qu’il est la plus juste des créatures, aimait cÂïcha – qu’Allah l’agrée – plus que tout autre parmi ses épouses, car « les cœurs sont entre deux des doigts du Miséricordieux ; Il les tourne comme Il veut. »[10] C’est pourquoi le Prophète – que la paix et la bénédiction d’Allah soient sur lui – avait l’habitude de dire, chaque fois qu’il partageait quelque chose de façon équitable entre ses épouses : « Ô Allah, ceci est mon engagement solennel autant qu’il m’est donné de le faire, ne me tiens pas rigueur pour ce que Tu peux accomplir et que je ne peux point ».[11]
Devoir du mari envers son épouse - واجب الزوج تجاه ...



Devoir de l'épouse envers son mari - واجب الزوجة تجاه ...

 

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L’évènement de Israa wa Miiraj voyage nocturne et l’ascension


Le Messager r venait de perdre sa très aimée femme Khadija, source de confort et de soutien. Son oncle Abu Talib, son "second père" un soutient qui le défendait des attaques vicieuses de ses ennemis était lui aussi parti. Sa mission à Taif était pour lui une grande déception. Il avait essayé d'inviter des gens à l'Islam, mais dans une vengeance haineuse et humiliante, ils avaient envoyé leurs enfants après lui, lui jetant des pierres jusqu'à le faire saigner. C'était sincèrement l'année de la tristesse.


C'est alors qu’Allah a voulu honorer son Prophète Mohammed r et le conduire au ciel dans un miraculeux et profond voyage terrestre (Isrâ) voyage nocturne puis céleste (Mi’raj) l’ascension.


Cela c'est déroulé le 27ème jour du mois du Rajab. Il n’est pas nécessaire de distinguer ce jour ou cette nuit par n’importe quel acte d’adoration ou d’y célébrer une fête, mais juste de rappeler cet événement important qui fait partie de notre foi. Ce n’est pas un mythe mais une réalité, un miracle de Dieu pour honorer son Prophète bien aimé.


Le mois de Rajab fait partie des quatre mois sacrés. Il y a des Hadiths qui parlent de ses mérites. Le Messager (r) disait quand il voyait le croissant annonçant le début de ce mois sacré : « Oh Allah ! Béni pour nous le mois de Radjab et de Cha'bân et fais nous parvenir au mois de Ramadhân. »


Ce miracle fut une invitation adressée à Son bien-aimé serviteur Muhammad (r), la plus parfaite des créatures, par Le Miséricordieux. Allah a voulu l’honoré et lui fait voir réellement le monde extraordinaire du ciel pour que ce bas monde soit négligeable pour lui.


Au nom de Dieu, le Clément, le Miséricordieux. : [1] Gloire à Celui qui fit voyager de nuit Son Serviteur de la Mosquée sacrée à la Mosquée la plus éloignée dont Nous avons béni les alentours, afin de lui faire découvrir certains de Nos signes ! Dieu est, en vérité, l’Audient et le Clairvoyant. » 17. Sourate du Voyage nocturne (Al-Isrâ’)


Dans un autre verset Allah nous parle de l’ascension :


« [12] Allez-vous donc lui contester ce qu’il a de ses propres yeux vu, [13] et alors qu’il l’avait déjà vu lors d’une précédente apparition, [14] près du Lotus de la limite, [15] non loin du Jardin du séjour des bienheureux, [16] au moment où un voile indéfinissable recouvrait le Lotus ? [17] Le regard du Prophète n’a ni dévié ni outrepassé la mesure, [18] et c’est ainsi qu’il lui fut donné de voir certains des plus grands signes de son Seigneur. » 53. Sourate de l’Étoile (An-Najm)


Selon la majorité des savants, ce voyage a été fait corps et âme et n’était pas un rêve.


Le prophète (r) s'est levé dans le milieu de la nuit pour visiter la Kaaba dans la Mecque. Après avoir prié un certain temps, il s'est endormi à coté de la Kaaba. L'Ange Gabriel (u) est venu et l'a réveillé.


Il le fit monter sur al-Buraq, une bête blanche avec des ailes, et ils se dirigent à une vitesse étonnante vers le nord, en direction de la mosquée d'Al-Aqsa à Jérusalem.


ð Cette mosquée est très importante pour les musulmans. C’est le troisième lieu saint de l’islam après la mosquée de la Mecque et celle de Médine.


ð Elle était la première Qibla des musulmans avant que Dieu les ordonne de se diriger vers la Kaaba.


ð Ce verset établi une relation étroite entre la mosquée « El Haram » de la Mecque et celle d’al-Quds, « El Aqsa ». Elles ont été toutes deux bénies par Allah ainsi que leur alentour. Un appel pour que les musulmans d’aujourd’hui ne néglige pas de tenter par tous les efforts de sauvegarder et restituer la terre sainte de la Palestine.


Quand ils ont atteint Jérusalem le Prophète r a prié en Imam dans les environs de Masdjid Al-Aqsa avec Abraham, Moïse, Jésus (Issa) et d'autres prophètes, paix sur eux.


ð La relation étroite entre ce qui a été révélé à Issa r fils de Marie et la révélation de Mohamed r et le lien de la même religion qui uni tous les prophètes qu’Allah a envoyé.


Le Miraj est l'ascension du Prophète r du rocher à l'intérieur de la mosquée, qui est connu sous le nom de Dôme du Rocher à Jérusalem vers le ciel.


Dans l’ascension Muhammad (r) a pu rencontrer ses frères prophètes (r). Ainsi, il a rencontré Adam (r) dans le premier ciel, Yahia (Jean) et Issa (Jésus) (r) dans le second, Youssef (Joseph) (r) dans le troisième, Idriss (r) dans le quatrième, Haroun (r) dans le cinquième, Moussa (r) dans le sixième et Ibrahim dans le septième ciel. Tous disaient en voyant le prophète (r) : « Bienvenu au frère vertueux et prophète vertueux » excepté Adam et Ibrahim (r) qui disaient Fils au lieu de frère.


Durant ce voyage le Prophète r a bien vu certaines des grandes merveilles de son Seigneur et a parlé avec Allah, Qui a instruit le Prophète r que les Musulmans doivent prier cinq fois par jour. (Elles étaient à l’origine 50)


ð L’importance de la prière.


Au matin, le Prophète (r) fit part de son voyage nocturne aux Mecquois qui se moquèrent de lui et le rapportèrent à Abou Bakr (t), qui rétorqua : « S'il le dit c'est que c'est vrai ! ». Depuis ce jour là le Messager l’a nommé « le véridique » (Assedik).


Selon Abou Hourayra (t), le Prophète reçut, la nuit de son ascension au ciel, deux récipients l'un plein de vin et l'autre plein de lait. Il les regarda et prit finalement le lait. Gabriel lui dit : «La louange est à Dieu qui t'a guidé à la saine nature (= l'Islam). Si tu avais pris le vin, ta communauté serait tombée dans l'errance». (Rapporté par Moslem)


Selon Anas (t), le Messager de Dieu a dit : «Au cours démon ascension au ciel, je suis passé devant des gens ayant des ongles de cuivre avec lesquels ils se griffaient le visage et la poitrine. Je demandai : «Qui sont ces gens là ? Ô Gabriel !» Il dit : «Ce sont ceux qui mangeaient la chair de leurs prochains et leur souillaient leur bonne réputation». (Rapporté par Abou Daoud)




 

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Deuxième présomption :

Leur référence à l’histoire de Alî ibn abî Tâlib – qu’Allah l’agrée – lorsqu’il demanda la main de la fille d’Abî Jahl du vivant de sa femme Fâtima, la fille du Messager d’Allah – que la paix et la bénédiction d’Allah soient sur lui – et que le Prophète dit lorsqu’on lui en demanda la permission : « Je ne le permettrai pas, je ne le permettrai pas et je ne le permettrai pas, à moins que le fils de Abî Tâlib (Alî) ne désire divorcer de ma fille et épouser la leur ; car ma fille est une partie de moi : ce qui l’inquiète m’inquiète et ce qui lui fait du mal me fait du mal »[12].

Or, ils ne citent pas le texte intégral du hadîth, mais un extrait partiel, qui raconte une partie de cet événement, en disant : voici le Messager d’Allah – que la paix et la bénédiction d’Allah soient sur lui – qui interdit la polygamie et la rend illicite. Cela prouve l’une de deux choses : ou bien ils manquent de connaissance ou bien ils insistent à mettre en évidence leur présomption de quelque manière que ce soit.

En fait, le texte intégral du hadîth montre la vérité dans cette affaire. Car le Prophète – que la paix et la bénédiction d’Allah soient sur lui – dit : «Je n’interdis pas le licite et je ne rends pas licite un interdit, mais par Allah, jamais ne se réunira la fille du Messager d’Allah et la fille de l’ennemi d’Allah sous un même toit ».[13]

Voilà donc le Messager d’Allah – que la paix et la bénédiction d’Allah soient sur lui –, le transmetteur de la parole d’Allah, celui dont la parole constitue le dernier mot dans la démonstration du licite et de l’illicite, qui dit, en langue arabe claire, par rapport au plus délicat des sujets touchant au plus cher des êtres pour lui, sa noble fille Az-zahrâ’, qu’il n’interdit point le licite ni ne rend licite un interdit. La prescription est donc préservée et n’a pas changé. La polygamie est une disposition légale qui n’a pas été amendée ni annulée ; c’est tout simplement le fait que le Prophète répugne au fait que sa fille et celle de l’ennemi (acharné) d’Allah soient réunies sous la responsabilité légale d’un même homme.

A ce propos, Ahmad Châkir dit : « Quant à moi, il est certain que, lorsque le Messager d’Allah – que la paix et la bénédiction d’Allah soient sur lui – a interdit à Alî de réunir sa fille (Fatima) et celle d’Abî Jahl, il ne l’a pas fait en tant que Messager transmettant une disposition légale venant de son Seigneur, compte tenu du fait qu'il ait affirmé clairement qu’il n’interdisait pas le licite et ne rendait pas licite l’interdit. C’est donc bien un interdit personnel [qu’il a formulé à l’égard de Alî] en tant que chef de la famille qui comprend Alî, son cousin, et Fâtima, sa fille. La preuve en est que c’est la famille d’Abî Jahl qui est venue demander la permission du Prophète à propos de la requête d’Alî – qu’Allah l’agrée – ; et il n’est point de doute que c’est la parole du chef de famille qui, en dernier recours, doit être obéie, surtout si celui-ci est le maître de Quraïch, le maître des Arabes et le meilleur de toutes les créatures. »[14]


 

macoooo

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Nombre de cambriolages qui sont commis en France
8% des foyers français sont équipés d'une porte blindée en France en 2009, Il se produit un cambriolage toutes les 10 secondes, près de 8800 par jour en France soit 320 000 par an (2009) ; ce qui a dopé le business des alarmes et des portes blindées. Un cambriolage dans une résidence principale coûte à ses victimes près de 6.500 euros, se commet parfois en leur présence, la plupart du temps. source

Que prévoie la loi francaise comme sanction?

Peine encourue :

Le vol est passible de 3 ans d'emprisonnement et de 45 000 €d'amende.

C'est la volonté de l'auteur de dérober qui est condamnée : ainsi, la peine est encourue même si l'auteur restitue l'objet ou qu'il n'y ait eu qu'une tentative de vol.

"Pour les délits, la peine minimale d'emprisonnement est fixée aux seuils suivants (article 132-19-1 du code pénal) :

- un an, si le délit est puni de trois ans d’emprisonnement (exemple : vol simple) ;

- deux ans, si le délit est puni de cinq ans d’emprisonnement (exemple : vol avec violence légère ; cession illicite de stupéfiants en vue de la consommation personnelle) ;

- trois ans, si le délit est puni de sept ans d’emprisonnement (exemple : vol avec violence et en réunion) ;

- quatre ans, si le délit est puni de dix ans d’emprisonnement (exemple : vol avec violence et en réunion, dans un transport collectif ; trafic de stupéfiants).

Les seuils minimaux sont déterminés en fonction de la peine attachée à l'infraction, indépendamment de l'état de récidive. Ils sont toujours inférieurs à la moitié de cette peine et nettement inférieurs au quantum de la peine encourue en raison de l'état de récidive. En effet, la peine encourue est, en l'état du droit, automatiquement portée au double du fait de la récidive (articles 132-9 et 132-10 du code pénal). Ainsi, pour le délit de vol avec violence et en réunion, le seuil minimal est fixé à trois ans, alors que la peine encourue par le récidiviste est de quatorze ans d'emprisonnement. Pour le délit de vol simple, il est d'un an, alors que la peine d'emprisonnement encourue par le récidiviste est de six ans."

Analysons rapidement cette loi ...

donc 1 ans de prison pour le délit le plus minime .. puis qu'apprend t'il donc de bien beau en 1 ans de prison?

Il se fait de nouveaux camarades dans sa cellule, et apprend bien sûr à être un meilleur voleur ..

Puis lorsqu'il purge sa peine, récidive et s'attaque à de plus gros vols ..

.. et le tout en prison .. une prison bien chauffé l'hiver avec téle, avec toutes les charges que ça comprend : gardiens, administrations et le tout payé par les concitoyens

n'est-ce pas comble de l'ironie?

Voyez combien tout cette mascarade coûte sans parler que le problème n'est toujours pas résolu, il n'y a qu'a voir les statistiques de nombres de récidivistes ...

mais laissons nos détracteurs répondre ..

Voyons voir ce que préconise l'islam pour parer à ce problème

Le vol est interdit dans le Coran, la Sunna et le consensus. Allah a stigmatisé cet acte odieux et y a opposé une sanction appropriée et stipulé que le voleur subisse l’amputation de sa main. A ce propos le Très Haut a dit : «Le voleur et la voleuse, à tous deux coupez la main, en punition de ce qu' ils se sont acquis, et comme châtiment de la part d' Allah. Allah est Puissant et Sage. » (Coran, 5 : 38). Le Prophète (bénédiction et salut soient sur lui) a dit : « l’on coupe la main pour le vol d’un quart de dinar ou plus » (rapporté par al-Boukhari, chapitre : al-houdoud, 6291). Le Prophète (bénédiction et

salut soient sur lui) a maudit le voleur parce qu’il constitue un élément corrompu dans la société. Si on le laisse faire, sa corruption peut se propager à d’autres membres de la communauté. C’est pourquoi le Prophète (bénédiction et salut soient sur lui) a dit : « Qu’Allah maudisse le voleur ; il se fait amputer la main pour avoir volé un œuf ou une corde ».

(al-Boukhari, chapitre : al-houdoud, 6285). L’applicabilité de cette disposition s’atteste dans le cas d’une noble femme issue de la tribu des Makhzoum qui commit un vol du vivant du Prophète (bénédiction et salut soient sur lui). Ussama ibn Zayd voulut intervenir en sa faveur, mais le Prophète

(bénédiction et salut soient sur lui) se fâcha et lui dit : « Vas-tu intervenir pour empêcher l’application d’une des peines établies par Allah ? ! Vos prédescesseurs n’ont péri que parce que quand une personne de la noblesse commettait le vol, ils ne lui appliquaient pas la peine prévue et quand une personne de basse condition le commettait, ils la lui appliquaient. Au nom d’Allah ! Si Fatima, fille de Muhammad volait, je lui couperais la main ». (al-Boukhoari, chapitre : ahadith al-anbiya, 3216).


Vu la gravité de l’amputation d’une main, on ne s’y livre pas pour n’importe quel vol. Car il y a des conditions qui doivent être remplies pour l’application de la peine. Voici les conditions :

1/ L’objet du vol doit être pris en cachette. Autrement, la peine d’amputation ne sera pas appliquée. C’est le cas dans l’acte qui consiste à arracher un objet à son propriétaire ou à l’usurper au vu de tout le monde. En effet, dans ce cas, la victime peut, soit résister soit lancer un appel au secours.

2/ La chose volée doit être un bien respectable, il ne doit pas s’agir d’un bien non respectable tels les instruments de musique, le vin et le porc.

3/ La valeur de l’objet volé doit atteindre le minimum requis. C’est-à-dire trois dirhams islamiques ou le quart d’un dinar islamique.

4/ L’objet volé doit avoir été pris à partir d’un dépôt sûr. Il s’agit ici d’un endroit où les gens gardent habituellement des biens précieux comme les coffres.

5/ Le vol doit être constaté soit grâce au témoignage de deux témoins, soit par l’aveu confirmé deux fois de l’accusé.

6/ Il faut que la victime du vol réclame son bien. Autrement la peine ne sera pas appliquée.

Le vol est un des délits qui portent le plus préjudice à la société, menacent ses membres dans leurs biens, leur honneur et leurs personnes et les privent de la paix et de la tranquillité que l’Islam veut procurer aux hommes. En effet, quand le voleur se décide à commettre son délit et trouve une résistance, il se peut qu’il tue celui qui s’oppose à lui ; il se peut aussi qu’il porte atteinte à l’honneur d’autrui. Un délit qui est susceptible d’avoir une telle ampleur requiert donc une sanction sévère qui le contrecarre et l’éradique. Si le voleur potentiel sait que sa main sera amputée, il se gardera de voler et préservera ainsi sa main de l’amputation pour le plus grand plaisir des gens dont les biens seront préservés du vol.
et La sentence s'exécute en public devant tout le monde, afin d'en faire un exemple !!

j'ai une seule question maintenant, qui va voler après ça ?

seul un fou ou un dénué de raison.. dans ce cas la il sera excusé !

Islamic Solution to Robbery and Theft - YouTube



 

macoooo

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Changement de Qibla

Il y a plus de 1,5 milliards de musulmans dans le monde et chaque fois que l’un d’eux prie, il se tourne en direction de la Mecque. Le terme islamique pour cette direction est qiblah. Peu importe où il se trouve, donc, le musulman fait face à la Mecque, là où se trouve la Ka’bah. La Ka’bah est ce petit bâtiment de forme cubique recouvert d’un grand drap noir orné de broderies, situé dans la mosquée connue sous le nom de Masjid al-Haram, à la Mecque, en Arabie.


« À chaque (nation) une direction vers laquelle elle se tourne. Rivalisez donc les uns avec les autres dans les bonnes œuvres. Où que vous soyez, Dieu vous rassemblera [au Jour de la Résurrection], car Il est certes capable de tout. Et d’où que tu sortes (pour prier, ô Mohammed), tourne ton visage vers le Lieu Sacré d’adoration. Certes, voilà la vérité de la part de ton Seigneur ; et Dieu n’est pas inattentif à ce que vous faites. » (Coran 2:148-149)


Il va de soi que les musulmans n’adorent pas la Ka’bah comme telle, ni ce qu’elle contient; ce bâtiment ne constitue qu’un point central. Les musulmans n’adorent qu’un seul Dieu, le Très miséricordieux, le Très sage. Et c’est Dieu qui a décrété que lorsque les musulmans prient, ils doivent tous se tourner dans la même direction. C’est un signe d’unité qui rejoint l’idée d’unité omniprésente dans l’islam.


Le terme arabe pour prière est salah et cela dénote une connexion entre le croyant et Dieu; quand tous les croyants se tournent dans la même direction pour prier, cela ajoute encore à cette idée de connexion. La prière connecte le croyant à Dieu et la qiblah connecte, unit les croyants entre eux. Certains disent que si nous pouvions observer, du ciel, tous les croyants en train de prier, nous verrions des rangs de croyants s’inclinant et se prosternant comme les pétales d’une fleur s’ouvrant et se refermant à l’unisson.


La qiblah, i.e. la direction de prière, n’a pas toujours été la Mecque. Les premiers musulmans priaient en direction de la mosquée d’al-Aqsa, à Jérusalem. Environ seize mois après la migration du Prophète et de ses fidèles à Médine, la qiblah fut changée pour la Mecque. Selon le récit qu’en firent les compagnons du Prophète, ce changement apparut du jour au lendemain. Un jour, au cours de la prière du midi, le Prophète reçut une révélation de Dieu lui ordonnant de se tourner vers la mosquée al-Haram.


« Ainsi avons-Nous fait de vous la nation du juste milieu afin que vous soyez témoins à l’égard de l’humanité comme le messager sera témoin envers vous. Nous n’avions établi l’orientation première, vers laquelle tu te tournais, que pour déterminer qui suivrait le messager et qui tournerait les talons. En vérité, ce fut [une épreuve] difficile, sauf pour ceux qui étaient guidés par Dieu. Jamais Dieu ne fera pas en sorte que votre foi ait été vaine, car Dieu est plein de compassion et de miséricorde envers les gens. Nous t’avons vu tourner ton visage vers le ciel (afin d’être guidé, ô Mohammed). Alors maintenant, Nous t’orienterons vers une Qiblah qui t’est chère. Tourne ton visage en direction du Lieu Sacré d’adoration (à la Mecque); et vous, (ô musulmans), où que vous soyez, tournez votre visage dans sa direction, (lorsque vous priez). » (Coran 2:143-144)


À travers les siècles, des mathématiciens et astronomes ont établi diverses façons de déterminer la qiblah à partir de n’importe quel point sur la terre. Il y a deux moments précis, chaque année, où le soleil se trouve très exactement au-dessus de la Ka’bah, ce qui fait qu’en tout endroit ensoleillé, les ombres pointent en direction opposée à la qiblah. Il y a également deux moments, chaque année, où le soleil se trouve directement au-dessus du point exactement opposé à la qiblah, ce qui fait que les ombres pointent en direction de la qiblah.


Il est important, pour chaque musulman, de faire les efforts nécessaires pour déterminer la direction de la qiblah lorsqu’il prie. Mais il faut savoir qu’un léger écart n’invalide pas la prière d’une personne. Le prophète Mohammed a dit : « Ce qui se trouve entre l’est et l’ouest est la qiblah. » [1] De nos jours, il est très facile de localiser la qiblah en consultant une mappemonde et en traçant une ligne entre l’endroit où l’on se trouve et la Mecque. Des boussoles et des programmes informatiques sont aussi disponibles et la grande majorité des mosquées possèdent une sorte de niche, dans la salle de prière, qui détermine la direction de la prière.


L’islam est une religion d’unité. Les musulmans sont unis par leur croyance en un seul Dieu. Ils forment une grande communauté unie par la prière et par la direction dans laquelle elle prie. La qiblah n’est pas qu’une question de latitude et de longitude, c’est surtout une question d’unité, d’une communauté planétaire unie dans son adoration d’un Dieu unique, Créateur et Administrateur de l’univers



Sira 85 Changement de Qibla, toute une éducation derrière [Autourdelislam HD]


 

macoooo

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La Sainte Marie Maryam enceinte de `Içâ Jésus

La sainte Marie (Maryam) est la mère du Prophète Jésus (`Içâ). Dieu (Allâh) a créé le Prophète `Içâ عَلَيْهِ السَّلاَم sans père. Dieu a ordonné à l’ange Gabriel (Jibrîl) d’insuffler en Maryam l’âme de `Içâ. Cette naissance extraordinaire montre la puissance de Allâh et l’honneur de l’avant-dernier Prophète. Mais nous ne connaissons pas exactement la date de sa naissance. La date de naissance du Prophète Jésus `Içâ n’est pas confirmée. Si elle l’était, les musulmans la commémoreraient comme ils commémorent la naissance du Prophète MouHammad ainsi que le jour de `Achourâ’ pour remercier Dieu d’avoir sauvé Môuçâ de Pharaon. Les musulmans ne fêtent donc pas noël.

Un jour que Maryam s’était rendue à un certain endroit où elle avait quelque chose à faire, Allâh envoya auprès d’elle Jibrîl sous l’aspect d’un jeune homme au visage blanc. Maryam lui dit alors ce qui est rapporté dans le Qour’ân :

﴿ قَالَتْ إِنِّي أَعُوذُ بِالرَّحْمَن مِنكَ إِن كُنتَ تَقِيًّا ﴾

(qalat ‘innî ‘a`ôudhou bi r-RaHmâni minka ‘in kounta taqiyyâ)

Ce qui signifie : « Elle a dit : je recherche la préservation du ar-RaHmân contre toi, laisse-moi si tu es pieux » [sôurat Maryam / 18]. C’est-à-dire que si tu crains Allâh, ne me fais aucun mal.

Il lui a dit ce qui est rapporté dans le Qour’ân :

﴿ قَالَ إِنَّمَا أَنَا رَسُولُ رَبِّكِ لأَهَبَ لَكِ غُلاَمًا زَكِيًّا ﴾

(qâla ‘innamâ ‘anâ Raçôulou Rabbiki li’ahaba laki ghoulâman zakiyyâ)

ce qui signifie : « Il a dit : je suis le Messager de ton Seigneur, afin de te donner un garçon pur » [sôurat Maryam / 19].

C’est-à-dire qu’il lui a dit que Allâh l’a envoyé à elle afin de lui donner un garçon vertueux, pur des péchés. Elle a dit ce qui est rapporté dans le Qour’ân :

﴿ قَالَتْ أَنَّى يَكُونُ لِي غُلاَمٌ وَلَمْ يَمْسَسْنِي بَشَرٌ وَلَمْ أَكُ بَغِيًّا ﴾

(qâlat ‘annâ yakôunou lî ghoulâmoun wa lam yamsasnî bacharoun wa lam ‘akou baghiyyâ)

Ce qui signifie : « Elle a dit : Comment pourrais-je avoir un enfant alors qu’aucun homme ne m’a touchée et que je ne suis pas au nombre des fornicatrices ? » [sôurat Maryam / 20].

C’est-à-dire que Maryam a dit : Comment pourrais-je être enceinte alors que je n’ai pas eu d’époux et que je ne suis pas perverse, fornicatrice. Il lui a dit ce qui est rapporté dans le Qour’ân :

﴿قَالَ كَذَلِكِ قَالَ رَبُّكِ هُوَ عَلَي هَيِّنٌ وَلِنَجْعَلَهُ آيَةً لِلناسِ وَرَحْمَةً مِّنا وَكَانَ أَمْرًا مقْضِيًّا﴾

(qâla kadhâliki qâla Rabbouki ; houwa `alayya hayyinoun ; wa linaj`alahou ‘âyatan li n-nâci wa raHmatan minna wa kâna ‘amran maqDiyyâ)

ce qui signifie : « Il a dit : Ainsi l’a dit ton Seigneur : C’est chose aisée pour Moi. Nous en ferons une preuve pour les gens, une miséricorde de Nôtre part. C’est une chose destinée » [sôurat Maryam / 21].

C’est-à-dire que Jibrîl a répondu à son étonnement que créer un fils sans père est chose aisée pour Allâh ta`âlâ. Ceci, afin de faire de `Içâ un signe pour les gens, une preuve de la parfaite toute-puissance de Allâh soubHânahou wa ta`âlâ, afin de faire de lui une miséricorde et une grâce pour ceux qui le suivront et qui croiront en lui.
CONVERTI A L'ISLAM 2018 un français accepte l'islam ...
▶ 8:01
 

macoooo

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L'amour entre Allah et Ses créatures
Certains détracteurs de l’Islam, surtout les chrétiens, prétendent que la religion musulmane ne connaît pas d’amour entre Allah -exalté soit-Il- et Ses créatures et que la relation qui lie le croyant à son Seigneur est une relation de sujétion, de soumission et de crainte seulement. Cette allégation a été reprise par l’actuel pape lors de sa fameuse conférence du 22 septembre 2006 à l’université de Ratisbonne en Allemagne.
Ceux qui soutiennent et nourrissent cette suspicion ne le font que pour discréditer l’Islam afin de freiner ou de ralentir sa progression, mais qu’ils aient la certitude que leurs efforts seront vains. Allah, exalté soit-Il, dit dans ce sens (sens des versets) :
«Ils veulent éteindre de leurs bouches la lumière d’Allah, alors qu’Allah parachèvera Sa lumière en dépit de l’aversion des mécréants. » (Coran : 61/8)
«Ceux qui ne croient pas dépensent leurs biens pour éloigner (les gens) du sentier d’Allah. Or, après les avoir dépensés, ils seront pour eux un sujet de regret.» (Coran : 8/36)

Comme ils ne se sont pas donner la peine de vérifier leur prétention dans les sources islamiques, nous allons nous contenter en guise de réponse de leur rappeler quelques uns parmi les nombreux versets coraniques et hadiths prophétiques qui parlent clairement et sans aucune ambiguïté de l’amour d’Allah pour les hommes ainsi que de l’amour de ceux-ci pour Allah.
« Ô les croyants! Quiconque parmi vous apostasie de sa religion... Allah va faire venir un peuple qu’Il aime et qui L’aime, modeste envers les croyants et fier et puissant envers les mécréants, qui lutte dans le sentier d’Allah, ne craignant le blâme d’aucun blâmeur. Telle est la grâce d’Allah. Il la donne à qui Il veut. Allah est Immense et Omniscient.» (Coran: 5/54)
Les exégètes qui ont commenté ce verset ont mis l’accent sur le fait qu’Allah –exalté soit-Il- a commencé par Son propre amour pour l’homme avant de parler de l’amour de celui-ci pour Lui.


« Parmi les hommes, il en est qui prennent, en dehors d’Allah, des égaux à Lui, en les aimant comme on aime Allah. Or les croyants sont les plus ardents en l’amour d’Allah. » (Coran : 2/165)
« A ceux qui croient et font de bonnes œuvres, le Tout Miséricordieux accordera Son amour » (Coran : 19/96).
Dans un autre verset, Allah dit à Moïse (sens du verset): « […].Et J'ai répandu sur toi une affection de Ma part » (Coran : 20/39).
Quant aux hadiths prophétiques qui mettent l’accent sur cet amour entre Allah et l’homme, ils sont aussi nombreux que les versets et nous en citerons quelques-uns à titre d’exemple :



Le Prophète () a dit : « Aimez Allah pour ce qu’Il vous accorde comme bienfaits ; aimez-moi pour l’amour d’Allah et aimez les membres de ma famille pour mon amour » (Rapporté par At-Tirmidhi et Al-Hakim qui dit qu’il répond aux critères d’authenticité fixés par Boukhari et Mouslim)
Il a dit aussi : « Lorsque Allah aime un de Ses serviteurs, Il appelle Gabriel et lui dit : « Ô Gabriel, J’aime untel, aime-le ! ». Gabriel l’aimera puis proclamera dans les cieux qu’Allah aime untel, aimez-le donc ; tous les habitants des cieux l’aimeront dès lors, puis les habitants de la terre en feront de même …» (Rapporté par Mouslim)


Il a dit également : « Lorsque Allah aime un serviteur, Il le met à l’épreuve ; s’il fait preuve de patience, Il le rapproche de Lui ; s’il en est satisfait, Il en fait un de Ses bien-aimés » (Tirmidhi et Ibn Majah).
Le Prophète () disait aussi dans une de ses invocations : « Mon Seigneur je Te demande Ton amour et l’amour de celui qui T’aime, de même que les œuvres qui me font parvenir à Ton amour. » (Rapporté par At-Tirmidhi).
Allah dit aussi dans un hadith Qodsi: « Mon serviteur ne se rapproche pas de Moi par quelque chose qui M’est agréable, en plus de ce que Je lui ai prescrit, comme Il se rapproche avec des œuvres surérogatoires ; il ne cessera de se rapprocher de Moi jusqu’à ce que Je l’aime ; et lorsque Je l’aimerai, Je serai l’ouïe avec laquelle il entend, la vue avec laquelle il voit, la main avec laquelle il empoigne et le pied avec lequel il marche … »(Boukhari).



A partir de ces textes fondamentaux de l’Islam les savants et poètes musulmans ont développé, tout au long des siècles, dans de très beaux textes une très abondante et très riche littérature sur l’amour d’Allah. Cette littérature à elle seule suffit pour prouver le contraire de ce que veulent nous faire avaler les ennemis jurés de l’Islam.

L'amour d'Allah pour Ses créatures [Mohamed Ahsaini] - ...
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Histoire est claire sur ce point : la légende des musulmans fanatiques s'abattant sur le monde imposant l'Islam, à la pointe de l'épée, aux peuple vaincus est un des plus fantastiques et absurdes mythes que les historiens ont pu répéter”
Lacy O'Leary (Historien) dans “Aux carrefours de l'Islam” p. 28.
Un autre témoignage ?
Dans “Le déclin et la chute de l'Empire Romain”, Edouard Gibbon - célèbre historien - dit:”le succès phénoménal de l'Islam est dû au caractère exceptionnel de sa spiritualité et de son programme social et politique. L'expansion de l'Islam est l'une des plus grandes révolutions de l'histoire...”

Puis un autre de Ignacio Olagüe ( “Les arabes n'ont jamais envahi l'Espagne” chez Flammarion ) : “Comment une poignée de nomades, venus du fond de l'Arabie, auraient-ils pu imposer leur langue et la loi de l'Islam aux quinze millions d'habitants vivant sur les 600 000 kilomètres carrés de la Péninsule Ibérique ?”
Laissez le soin à nos détracteurs de répondre...

Les mêmes témoignages existent pour l'Inde, l'Europe Orientale, l'Asie...La liste serait fort longue...
Ensuite il y a des pays où nul soldat musulman n'a posé le pied: Indonésie (100 millions de musulmans), Malaisie, Afrique etc... où un pourcentage très élevé de ces populations est musulman. Où est l'épée?

De nos jours, oui, de nos jours, l'Islam est la seule religion en très large expansion, et les musulmans n'ont pas d'épée! Contrairement à l'Occident, les pays musulmans n'ont envahi aucun pays souverain depuis 1000 ans. Mais l'Islam progresse dans les cœurs, grâce à la cohérence, à la vérité, à la sagesse de son message. C'est tout.
Mais nous dira t-on les musulmans ont bien commencé par être des agresseurs pour pouvoir conquérir tous ces territoires christianisés, par principe hostiles à l'Islam naissant. Il y a les mythes et il y a l'histoire. Attachons nous à l'histoire, et non aux mythes.
Bien avant sa mort, le prophète avait envoyé des ambassadeurs de par le monde, pour inviter les grands empereurs d'alors vers l'Islam. Certains les ont bien accueilli et se sont convertis, d'autres ont refusé et ont payé un tribut. D'autres encore comme l'empereur de Byzance, les ont rejeté, et ce dernier a été jusqu'à faire assassiner l'ambassadeur de prophète, sans raison, ni excuse! Cela donc contribua à déclencher la guerre entre cette “superpuissance” d'alors et les musulmans. Ces derniers ne sont donc nullement responsables du début des hostilités entre chrétiens et musulmans. Hostilités dont ils sortirent grand vainqueurs. Et même alors, les musulmans n'imposèrent nullement leur foi aux pays conquis. Ils accordèrent aux juifs et aux chrétiens de ces pays un statut de protégé (“Dhimmi”) de l'état islamique, garantissant leurs biens, leurs églises ou synagogues, et bien sûr leur culte.
Car la religion repose sur la foi et la volonté. Elle n'aurait aucun sens autrement.
La force permet les conquêtes, pas les conversions!

Pourquoi filtrer l'Histoire? Souvenons-nous par exemple, du Concile de 680 à Constantinople, capitale de l'empire romain. Durant ce Concile il fut décidé d'une déclaration de guerre totale à l'Islam, dont les buts affichés, sans ambiguïté, étaient de faire disparaître l'Islam, le Coran, les enseignements du “prophète hérétique” et d'exterminer tous les musulmans de la surface de la terre! Charité chrétienne... À comparer aux statuts privilégiés accordés par les musulmans aux chrétiens...Et cet appel chrétien au génocide a perduré jusqu'aux grandes guerres coloniales (voir infra), pour imposer leur conception de la “civilisation” à l'ensemble de ces peuples “barbares” souvent musulmans.
Et nous savons tous les dizaines de millions de morts que cet “apport de civilisation” a justifié!

Quoiqu'il en soit, croyez-vous qu'un homme seul, puis ensuite, la poignée d'homme qui a dû émigrer à Médine à cause des persécutions mecquoises aient pu imposer l'Islam aux peuples d'Arabie et d'ailleurs? Seul un miracle le pouvait.
Et le miracle fut.
Seule la haine aveuglante des adversaires de Mohammad (PBSL) peut expliquer cet acharnement à renier des faits historiquement indéniables, les travestissant à loisir pour pouvoir répandre ce qui leur sied. Ne peuvent-ils pas voir que la “seule épée” que brandissait Mohammad (PBSL) c'était l'épée de sa foi en l'unicité de Dieu, de la Miséricorde divine, de la compassion, de la sagesse d'un prophète de Dieu ? Celle-là même qui vainc et convainc l'ennemi en purifiant les mœurs, purifiant les cœurs.
Il faut inviter tous ceux qui affirment que dans le passé, un peuple, ait été contraint d'embrasser l'Islam, d'en amener UNE preuve d'une source historiquement fiable, et dont l'auteur puise l'information d'autres choses que du postulat de sa conviction personnelle.
Fausse accusation de médias: l'Islam s'est propagé par la ...
‪ف
 

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le statut de la femme
S'il y a bien une accusation, une question qui ne manque jamais de tomber c'est bien la question de la femme musulmane.

Dans leur critique, il y a une partie de vérité et une autre, propre aux stéréotypes occidentaux sur la condition féminine en Islam.

Nos filles, nos femmes, nos sœurs, constitue en gros la moitié de la Oummah. Dieu, dans sa Sagesse, n'a pas attendu que des européennes dessinent pour elles les plans de leur libération! Pendant qu'en Europe on avisait pour savoir si la femme est une “chose” ou “une personne”, Dieu, le même Dieu qu'on supplie dans nos prières, déclarait dans son livre, le Coran sacré, que les femmes sont les sœurs (c.a.d. égaux) des hommes.


Dieu a déclaré qu'elles ont des droits sur eux, tout comme ils ont des droits sur elles, excepté que l'homme a une préeminence car il a la responsabilité de sa famille et qu'il doit donc supporter le fardeau social, fardeau dont sont exemptées les femmes (Coran S2V228). Il ne s'agit pas là d'une distinction hiérarchique, car, et c'est l'important, l'égalité est parfaite en droits, en dignité, en religion (Coran S3V195 - S4V1 - S19V95).


Et rappelons simplement que notre Saint prophète dans son message d'adieu (c'était donc important pour lui!) nous a exhorté en ce sens: “Traitez bien vos femmes et soyez gentils envers elles car elles sont vos partenaires ” (et non vos subordonnées, ni vos propriétés!). Beaucoup de hadiths confirment les injonctions de notre prophète concernant le bon traitement et l'équité envers les femmes. Être doux et aimable avec sa femme et sa famille est une Sunnah comme les autres, rétribués comme les autres. Il convient de ne jamais l'oublier.



“Le plus parfait des croyants est celui qui a la meilleure conduite . Les meilleurs d'entre vous sont ceux qui sont les meilleurs avec leurs femmes.“ Hadith (Tirmizi).

Et il est étrange que certains d'entre nous, sous le poids des traditions ou coutumes non-islamiques, par ignorance totale des lois coraniques, perpétuent des actes d'un autre âge: les femmes ne doivent jamais sortir de chez elles, battent leur femme en cas de désaccord, ne consultent jamais leurs enfants ou femmes pour les grandes décisions, ne discutent jamais avec leur famille, font des mariages arrangés sans l'accord des enfants; bref ils se conduisent , en véritables potentats, à l'opposé des recommandations divines ou du prophète.

Nul ne devrait imposer à nos femmes ce que Dieu n'a pas cru bon leur imposer! Ni leur interdire ce que Dieu ne leur a pas interdit! A-t-on le droit de se substituer à Dieu? Chacun est responsable de ses actes et devra en répondre devant Allâh.


Il ne convient pas non plus d'aller jusqu'à un laxisme sur les principes islamiques. Cette attitude est malheureusement tout aussi condamnable !


Non, la solution se trouve dans la mesure, dans l'équilibre. Car nous devons tous prendre conscience de l'importance extrême du noyau familial dans la société musulmane, et que nous devons tout faire pour y faire régner l'harmonie, la joie, et la fierté d'être musulman. C'est dans la famille qu'est donnée l'éducation des enfants. Aucune nourrice, aucune crèche, aucun enseignant au monde ne pourra remplacer l'amour d'une mère ni l'éducation qu'elle et elle seule, peut donner aux enfants, de par son statut de mère. L'effondrement du noyau familial conduit actuellement le monde occidental à sa perte. Prévenons cela chez nous. Il ne faut donc pas fuir nos responsabilités de parents comme on le voit partout, et tout déléguer sur l'école ou la madressa.

L'école a son rôle, la madressa a le sien, et nous, parents, le nôtre, le rôle principal.

Le négliger? Ce n'est pas grave....C'est criminel.

Votre propre chair vous accusera un jour...Ce Jour-là!

Ces enfants (filles et garçons) constituent la génération de musulmans de demain. S'ils perçoivent autour d'eux, un Islam “archaïque”, et si, parallèlement, ils ressentent, fatalement, une attraction pour ce mode de vie occidental dans lequel ils baignent; qui est en cause s'ils chutent? Qui est en cause, si demain, ces jeunes sont complexés vis-à-vis de leur croyance? Qui sera en cause s'ils auront honte de montrer leur foi?

Clairement et nettement: leur éducation, leurs parents!

Apportons grands soins à nos sœurs dans la foi, sans jamais oublier qu'elles nous donneront et forgeront la nation musulmane de demain. Cela nous donne la mesure du respect qu'on leur doit. Prions Allâh, et implorons son aide.

Les Droits De La Femme Dans l'Islam: Subjugués Ou ...

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